1. Toute Honte Bue


    Datte: 21/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica

    ... pas quittée des yeux pendant que je retirais mes vêtements. C'était la première fois que je dormais dans la même pièce que lui et de me sentir nue sous son regard m'intimidait un peu. Ce n'était pourtant pas la première fois. Mais je supposais que ce n'était pas sans intention qu'il m'avait imposé de rester toute nue dans ce compartiment. En effet je l'entendis me dire :"un peu plus tard, il sera nécessaire que vous descendiez, je vous expliquerai pourquoi." Je me suis demandé quelle surprise il me réservait.
    
    Je lisais mon policier depuis un bon moment lorsque M. Adrien me demanda de descendre. J'obéis aussitôt et me retrouvai devant lui dans ma totale nudité. Il m'expliqua que sur cette ligne qu'il connaissait bien, il y avait depuis quelque temps des travaux de nuit. D'ici quelques minutes, le train allait ralentir.
    
    Il me demanda alors de relever le rideau et de me mettre très près de la fenêtre. Effectivement je vis bientôt le paysage nocturne défiler plus lentement. Des groupes d'ouvriers travaillaient sur les voies. Nous allions encore trop vite pour qu'ils puissent m'apercevoir. Mais quelques instants plus tard le train ralentit encore et finit par s'arrêter. Comme la lumière de notre compartiment était restée allumée, des ouvriers relevèrent la tête et virent cette jeune femme nue collée à la vitre qui les regardait. Ceux qui m'avaient aperçue firent signe aux autres et bientôt tout un rassemblement se forma sous notre fenêtre. Terriblement gênée, je voulus me ...
    ... retirer, mais M. Adrien, qui se tenait dans l'ombre derrière moi, insista : "Non, non! Restez! Le train va repartir dans quelques instants". Je vis tous ces hommes qui s'agitaient, riaient, s'interpellaient, me faisaient de grands signes obscènes. Quelle aubaine pour ces travailleurs immigrés, qui vivaient probablement seuls, de voir dans toute sa nudité une femme comme ils pouvaient en rêver! Me sentant totalement exposée, même si j'étais à l'abri dans le train, hors de toute atteinte, je fus saisie par une violente bouffée de honte qui me fit rougir jusqu'aux oreilles. Moi, la voyageuse des wagons-lits, comme je me sentais désirée et peut-être méprisée par tous ces hommes frustes que cette exhibition comblait et perturbait à la fois. L'arrêt du train me parut interminable. Sous mes yeux l'émeute continuait et je restais là, immobile, légèrement souriante, totalement livrée à leurs regards qui dévoraient mes seins, mon ventre et la toison qui couronnait mon sexe.
    
    Quand le train repartit m'emportant loin de leur vue comme un rêve inaccessible, M. Adrien se contenta de dire : "quel cadeau magnifique vous avait fait à ces hommes! Votre image va les hanter pendant des jours!" Je ne réussis pas à me rendormir tout de suite. Je revis cette scène en me représentant ce qu'ils avaient vu, cette femme nue qui était moi, offerte à leurs désirs. Ma main aurait aimé caresser mon ventre mais un reste de pudeur me retint. Je ne voulais pas que M. Adrien, couché juste en dessous de moi, ...
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