1. Le secret de la licorne


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fplusag, couleurs, grossexe, grosseins, groscul, complexe, piscine, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... s’aplatit, cuisses en V, en pleine pâmoison. Elle mit un certain temps à récupérer tandis que Cédric, assis, voyait son membre se dégonfler à vue d’œil, comme s’il avait été percé d’une aiguille. Au bout d’un certain temps, elle lâcha :
    
    — J’espère que je ne t’ai pas déçu. Que tu ne m’as pas trouvée trop vieille. En tout cas, toi, tu m’as régalée. Tu es doué, très doué pour l’amour et je m’y connais. Tu vas donner beaucoup de bonheur aux femmes. Si tu as des complexes pour ta queue, tu peux les oublier. Elle est magique.
    
    Cédric en fut tout fiérot. Mais sa conclusion coula de source. C’est avec des femmes expérimentées comme Sandra qu’il aurait le plus de plaisir. Pas avec les filles de son âge.
    
    ********
    
    Dans les jours qui suivirent cette mémorable partie de jambes en l’air (pour les deux), Marianne, la mère de Cédric, vit défiler dans son bureau un nombre anormal de collègues femmes, quels que soient leur âge et leur situation maritale. Toutes avaient pour point commun l’intérêt pour son fils. Et qu’est-ce qu’il devient ? Que fait-il comme études ? A-t-il une petite amie ? Fait-il du sport ? Tout y passait. Marianne comprit que Sandra avait été bavarde. Lorsqu’elle l’avait rencontrée récemment, elle avait parlé de Cédric avec un regard extasié et la bouche humide. Elle avait ainsi résumé sa pensée :
    
    — Ton fils est une bête de sexe. Un Casanova en puissance. J’ai pris un plaisir inouï. Ne te fais aucun souci pour lui. Sa queue, c’est son talisman.
    
    Marianne ...
    ... se retrouva donc avec des sollicitations inattendues. Ainsi Martine, 60 ans, aux cheveux argentés, qui voulait l’inviter à dîner en présence de sa fille « qui s’ennuie » mais se proposait de le rencontrer d’abord en privé « pour discuter ». Corinne, grande blonde de 50 ans, qui proposait un jogging en forêt « là où je ne peux pas aller seule », bien que mariée. Agnès, petite boulotte de 45 ans, larguée depuis peu par son mari, qui demandait si, des fois, Cédric ne serait pas intéressé par des leçons de piano, son hobby. Julie, 40 ans, pulpeuse, brune, prématurément veuve, la seule à ne pas avoir évoqué un prétexte. Et la plus étonnante de toutes, Élise, 37 ans, sa chef de service, mère de famille multidiplômée, petite poupée au corps parfait, bien sous tous rapports, qui proposa à Marianne un job d’été à son fils « le mois où je serai présente ».
    
    Toutes, sans exception, voulaient son numéro de téléphone portable. Et donc implicitement aspiraient à se faire sauter par ce phénomène sexuel, à connaître le plaisir de la grosse queue, histoire de, dit l’une d’entre elles, ne pas mourir idiote. Toutes étaient des femmes à la sensualité plus ou moins dissimulée, mais avide.
    
    — Tu as fait du beau travail, grogna Marianne à l’endroit de Sandra. Mon fils ne saura plus où donner de la… tête.
    
    La Sénégalaise partit d’un de ses rires cristallins qui égayaient son entourage.
    
    — Mais qu’il m’en laisse un peu quand même, répondit-elle.
    
    Et c’est ainsi que Cédric entra dans sa ...
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