1. Le secret de la licorne


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fplusag, couleurs, grossexe, grosseins, groscul, complexe, piscine, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... lui était jamais venu à l’esprit. Il en était donc là par la faute de la nature. Marianne comprit qu’il lui fallait prendre les devants.
    
    Dans son entourage professionnel figurait une femme d’origine sénégalaise prénommée Nafissatou mais préférant se faire appeler Sandra parce qu’elle jugeait son prénom originel encombrant. Mère de trois enfants mais encore quadragénaire, les cheveux toujours en tresses courtes, elle affichait tranquillement sa sexualité par des robes souvent décolletées et découvrant la moitié de ses cuisses musclées, mettant en évidence un physique puissant, athlétique, dominateur. Elle ne faisait pas mystère d’être « open » avec la complicité de son mari qui adorait qu’elle lui raconte ses ébats conjoncturels. Elle était le prototype de la « femme qui baise » et Marianne l’admirait pour sa liberté et sa générosité. C’est même sous son influence qu’elle s’était laissé aller une fois à un « plan à quatre » dans une chambre d’hôtel avec deux clients de sa boîte jugés importants. Elle avait pu alors juger de visu de son abattage et du plaisir qu’elle donnait à ses partenaires. Mais Marianne, soucieuse de préserver son couple, s’était promis de ne pas renouveler l’expérience. Même si elle y avait pris plaisir, il fallait l’avouer.
    
    Aussi, quand elle lui raconta les soucis de son fils, Sandra comprit d’emblée où elle voulait en venir :
    
    — Bon, tu veux que je couche avec lui, c’est ça ?
    — Euh, oui, mais surtout, que tu lui donnes confiance. Qu’il ...
    ... n’ait plus le complexe de son pénis.
    — Il est si bien monté que ça ?
    — Ah que oui ! Il fait fuir toutes les jeunes filles de son âge.
    — Elles ne savent pas ce qui est bon. Moi, il faut que je sois bien remplie pour jouir. Tu veux qu’on se voie quand ?
    
    Marianne lui proposa un rendez-vous à son domicile pour que Cédric fasse déjà connaissance avec elle. Et le prépara.
    
    Deux jours plus tard, un samedi, Sandra fit son apparition chez Marianne. Le hasard fit que ce jour-là, il faisait chaud. L’hôtesse bronzait nue au bord de sa piscine. Sandra préféra se mettre à l’ombre mais se dévêtit entièrement à son tour. Les deux femmes se baignaient quand Cédric fit son apparition en bermuda de bain. Malgré l’amplitude du maillot, le volume de son sexe était patent. Il balançait sous la toile légère comme un pendule. Sandra retint de justesse une exclamation. Elle était certes habituée aux queues volumineuses de ses amis sénégalais, à commencer par son mari, mais ce gars-là pouvait aisément rivaliser.
    
    Mais quand elle sortit de l’eau, la croupe généreuse, bien fendue, en oscillation, les seins dressés, le pénis de Cédric prit illico une allure horizontale qui tendit le bermuda. Sandra fit mine de ne pas s’en apercevoir et vint le saluer avec un sourire éclatant, frôlant le torse du jeune homme de ses seins au moment de la bise mais entrant en contact avec la queue au niveau de la cuisse.
    
    — Enlève ton maillot, tu seras plus à l’aise, lança Marianne, qui n’avait rien perdu de la ...
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