1. Le secret de la licorne


    Datte: 21/11/2024, Catégories: fh, fplusag, couleurs, grossexe, grosseins, groscul, complexe, piscine, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... bite ! J’en ai plein la bouche. Mmmhh mmhhh(Sandra s’attarda sur le gland survitaminé). Bon, maintenant, on va baiser. Tu préfères ici ou dans ton lit ? Moi, ça m’est égal. Dans ton lit ? D’accord. Tu ne veux pas tacher le canapé de ta maman, hein ? Allez bien, c’est moi qui monte l’escalier la première, tu pourras bien mater mon cul.
    
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    Et quel cul ! Cédric n’en avait jamais vu de pareil. Bombé, charnu et néanmoins musclé, longuement et profondément fendu, il louvoyait devant lui dans l’escalier comme animé d’une vie interne. Il faillit mordre dedans comme un gâteau au chocolat. Il était si près qu’il sentait son odeur sui generis. Sandra percevait sur sa peau le souffle oppressé du jeune homme et accentuait sa cambrure déjà forte. En haut de l’escalier, Cédric bandait comme un cheval, bien heureux de ne plus avoir de bermuda. Quand elle bascula sur le lit, les cuisses déjà écartées, elle se lança à nouveau dans un discours qui l’excitait autant qu’elle excitait l’autre :
    
    — Allez, viens, j’ai très envie. Je n’ai pas baisé depuis une semaine. Je me suis réservée pour toi. Je veux que tu me remplisses avec ta grosse bite. Tu auras même droit à mon cul puisque tu en as envie, comme les autres. Mais d’abord, je veux ta langue dans ma chatte. Pas trop longtemps, juste assez pour t’apprendre comment faire. Oui, c’est ça, continue, mmmhhh, n’oublie pas mon clito.
    
    Puis Sandra se tut. Elle lâcha simplement quelques soupirs de plaisir, la main crispée sur la ...
    ... nuque de son lécheur, le guidant dans son exploration, les hanches frémissantes, la tête parfois relevée pour observer avant de retomber, en extase. Cédric perçut clairement son orgasme et sa virilité en fut confortée. Lorsqu’il se releva, sa pine faisait comme un os de licorne au bas de son ventre. Sandra s’en saisit à pleine main et le guida dans sa vulve béante, comme pour contenir la rigueur de la pénétration. Il s’enfonça lentement, mais totalement et la fit rugir :
    
    — Allez, baise ! Baise maintenant ! Ne me ménage pas ! Défonce-moi !
    
    Il n’avait pas besoin de cet encouragement. Le corps en fusion, plantureux, mouvant et offert de la Sénégalaise, lui mettait la queue en feu. Il lui mit une rafale qui la mit en arc de cercle, ses ongles plantés dans ses épaules, la bouche ouverte sur une série de râles seulement interrompus par des « retiens-toi » presque angoissés comme si elle craignait que son jeune amant ne se laisse prématurément emporter par sa virulente pénétration. Mais la nature avait doté Cédric, outre d’un organe plantureux, d’une endurance qui allait lui valoir, dans la suite de sa vie sexuelle, un succès considérable dans la gent féminine. Pour l’heure, c’était la quadragénaire à peau noire qui s’en régalait. Et quand elle eut à nouveau joui, bruyamment et intensément, il se retira, toujours gaillard, au ravissement de sa partenaire, encore essoufflée, qui lâcha :
    
    — Oh merci ! Tu as encore envie de moi. Tu m’as mis le feu. Couche-toi, que je vienne sur ...
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