Le secret de la licorne - Histoires de Sexe

Le secret de la licorne

... scène.

Les deux femmes étant entièrement nues, le garçon pouvait difficilement ne pas s’aligner. Et sa bite lui faisait mal. Quand il la dégagea, Sandra ne put s’empêcher cette fois de commenter :

— Oh, magnifique ! Tu as une très belle queue ! Tu es fait pour donner du plaisir aux femmes.

C’était direct ; Cédric rougit mais venant d’une telle Vénus, bâtie elle aussi pour l’amour, c’était plutôt gratifiant. « Elle en a autant derrière que devant », nota-t-il in petto, épaté. Il masqua son trouble en plongeant dans la piscine. Marianne buvait du petit lait. Son plan marchait à merveille. Restait à attendre la conclusion. Quand, un peu plus tard, Sandra se rhabilla pour regagner son domicile, elle lui glissa à l’oreille :

— Ne t’inquiète pas pour ton fils, j’en fais mon affaire. Et il s’en souviendra.

Marianne n’eut donc aucune difficulté à préparer Cédric à une rencontre avec son amie.

— Elle a vraiment envie de toi, lui dit-elle. Et toi ?
— Hem. Mais elle est mariée, non ?
— Oui mais libertine. Profites-en. Elle au moins n’a pas peur de ta verge.

L’argument porta. Il fut décidé une rencontre au domicile de Marianne. Elle s’échapperait avec son mari pour une raison diverse, lui laissant la maison pour que son fils se sente plus à l’aise. Ce fut le samedi suivant.

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Sandra déboula dans la maison tout sourire, les dreadlocks en bataille, sommairement vêtue d’une robe à boutons lui arrivant à mi-cuisses, tendue à craquer au niveau de son ...

... ventre, de ses fesses et de ses seins au point de mettre les boutonnières à rude épreuve. Dans son ample bermuda de bain, Cédric se sentit déjà durcir et tenta vainement de masquer son état. À peine arrivée, Sandra s’en amusa :

— Je vois que je te fais de l’effet. Viens sur le canapé, on va discuter.

Lorsqu’elle s’assit, la robe remonta si haut que le dernier bouton lâcha, découvrant la quasi-totalité des cuisses brunes. Sandra n’avait pas l’intention de se perdre en discussion. Elle prit la main de Cédric, qui sentit aussitôt sous ses doigts le sexe déjà humide de la Sénégalaise, lancée dans une logorrhée sexuelle teintée légèrement d’un délicieux accent africain hérité de ses ancêtres :

— Tu vois, je ne porte pas de slip. Je suis venue pour baiser. Avec toi. Je dis bien baiser, pas faire l’amour. Tu vas me défoncer, me régaler. Enlève-moi ce short, que tu puisses bander à l’aise. Oh là là, quelle bite tu as ! M’étonne pas que tu fasses peur aux demoiselles. Mais moi, ça ne risque pas. J’aime les grosses bites comme la tienne. Déboutonne ma robe, mets-moi toute nue. Douuucement, ne sois pas si pressé. Tu aimes mes seins ? Caresse-les, oui, comme ça, j’adore… Continue pendant que je te branle. Oh, j’en ai plein la main ! Quel outil ! J’espère que tu vas me faire durer, hein ? Pas question que tu gicles trop vite. Dès que tu sens ton sperme monter, hop, tu te retires et tu te comprimes la queue. On a le temps. Je vais te sucer un peu. Mmmmmh, qu’elle est bonne, cette jeune ...