1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... paire de mains congolaises et que l'homme en rut savoure avec joie les collisions répétées avec le double coussin de ses fesses, blanches et magnifiques sous le soleil, jusqu'à ce qu'il finisse par rugir de plaisir en explosant au plus profond d'elle.
    
    Madame la lieutenante reçoit tout l'amour de ses hommes en collisions répétées. Elle sent trop bien la chaleur toute tropicale de leur sperme, qu'ils lui balancent avec un délice cru en poussant des râles horribles. Elle râle, souvent de rage et de honte, parfois aussi de plaisir quand son corps l'oblige à jouir sous l'opprobre. L'heure de la décolonisation a sonné.
    
    Dans la maison, des nègres nus saccagent et pillent la cuisine pendant que Nadine continue de se faire violer contre la table ; son visage baigné de larmes glisse, va et vient en leitmotiv sur la table, ses yeux pers en gros plan devant une petite salière renversée, pendant que les mutins se bousculent et se succèdent pour le plaisir de la violer par derrière.
    
    À la lumière diurne de la pièce, les fesses vierges de Nadine sont la proie des plus bas instincts de cette soldatesque déchaînée. Enfin! Ils ont enfin trouvé le prétexte pour se mutiner en masse et venir enfoncer les portes chez les Blancs. Un avion belge a tiré sur leur convoi en route vers Port Matadi.
    
    L'ordre de mission est changé. L'objectif, à présent, c'est le cul des filles belges. Il s'agit de savoir comment c'est, monter et ensemencer une fille blanche.
    
    Et la petite Nadine... Si belle ...
    ... avec ses cheveux châtains clairs, à présent déployés en désordre sur la table tandis que les soldats mutinés la violent à répétition, à couilles rabattues au milieu de la cuisine saccagée. Ils l'ont trouvée pieds nus dans la salle de séjour où elle lisait ; ils l'ont bien vite déshabillée. Et le pire, c'est qu'après la douleur insoutenable de sa défloration, le plaisir forcé l'a soumise à son empire tribal aux mains des nègres ; elle les a bien fait rire par l'éclat de ses cris de jouissance, avec la splendeur de son cul d'adolescente illuminant la cuisine, au milieu des Congolais qui boivent de la bière belge et en arrosent parfois ses fesses pleines d'innocence, dont ils ne se lassent pas.
    
    Dehors, le capitaine Mtoumba, un sergent de peloton bombardé officier deux jours plus tôt, constate que Louise est bien fatiguée des sept ou huit viols dont le dernier s'achève par un râle sourd du violeur satisfait, râle qu'accompagne une chaude et violente décharge de sauce congolaise. À côté, Armande subit un pilonnage en règle, abaissée à quatre pattes et montée comme une chienne par les soldats de son mari, mais c'est sur Louise que Fabrice Mtoumba porte toute son attention, Louise dont il admire le sexe triangulaire, un buisson noir à présent noyé d'opprobre, tandis qu'il s'agenouille tout près de la Blanche nue, nu lui-même.
    
    Il ordonne qu'on lâche ses chevilles, désormais meurtries de contusions à force d'être enserrée par les mains congolaises. Une fois qu'elle a les jambes ...
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