1. Mutinerie au Congo, Chapitre 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... les cheveux noirs, coiffés avec une pointe lui tombant au front et les côtés tout luisants de brillantine. Ah... Comme il serait beau! » fait la jeune fille en soupirant de nouveau et en passant langoureusement la main dans ses longs cheveux cuivre d'automne.
    
    « Les cheveux luisants de brillantine, et avec un blouson noir et un pantalon en denim noir... un motard! » s'amuse Véronique, les yeux pourtant étincelants d'un désir fauve.
    
    « Un chef de bande, avec sa meute de jeunes loups! Aouhh! En voilà, de la bonne châtaigne pour les grandes gourmandes! Ha! Ha! Ha! Ha! » s'esclaffe la jeune hôtesse.
    
    « Lucie, je t'entends! » lui crie Jeanne depuis la salle de séjour. Jeanne sait que «châtaigne » est un mot-code entre elles, qui veut simplement dire « bite ».
    
    « Oohh, comme ce serait doux... » lâche doucement Véronique, les yeux fermés en esquissant un sourire rêveur.
    
    « Qu'est-ce qui serait doux, Véro? Allez, allez, vide ton sac, ma jolie! On est entre amies ici... » la presse Isabelle.
    
    « Non, ce n'est rien, c'est juste une idée comme ça. Hé, Pauline, fais-nous donc jouer tes disques! » répartit Véronique en tentant d'éluder la question.
    
    « Non, non, Véro, tu ne t'en tireras pas comme ça! Allez, dis-nous ce qui te trotte dans la tête... On brûle de savoir... » Isabelle ajoute en murmurant : « Je suis certaine que c'est très cochon, ton idée, Véro... »
    
    Véronique prend une grande respiration et se lance...
    
    « Oui, bon, hé bien, j'aimerais que... enfin, ça me ...
    ... plairait très fort que... »
    
    « Oui, on t'écoute Véro... » l'encourage Isabelle, tout sourire. Les autres ont un grand fou-rire. Elles ont bien hâte de savoir c'est quoi, cette idée cochonne!
    
    « Parle tout doucement, Véro ; ma mère a l'oreille fine... »
    
    « Hé bien, aussi vrai que je m'appelle Véronique Lippens, j'aimerais être aux États-Unis, sur le bord de la grand-route, la fameuse Route 66, esseulée avec une voiture en panne, et qu'une bande de motards arrive avec leurs bottes de cuir et leurs blousons noirs, qui affichent fièrement le signe de leur bande.
    
    « Ils me verraient, et là ils s'arrêteraient, puis le chef, un grand costaud, me saisirait par la taille et m'emmènerait sur sa bécane. Arrivés dans un petit sous-bois isolé, ils me... Enfin, chacun d'eux m'amènerait au septième ciel, l'un après l'autre, en commençant par le chef, suivi de son bras droit, jusqu'aux deux derniers, deux types plutôt moches dont l'haleine pue la cigarette bon marché. Je crois que j'adorerais ça!»
    
    Les filles éclatent de rire, et Véronique elle-même se met elle aussi à rire, soulagée que ses amies trouvent ça drôle. Le fait est qu'elle adorerait essayer ça, une baise à plusieurs où elle serait la seule fille.
    
    « Ha! Ha! Ha! Ha... Oh, Véronique... J'étais sûre que ce serait cochon, mais ça c'est vraiment très cochon! » finit par dire Isabelle.
    
    Lucie rougit, n'osant pas s'admettre à elle-même que le récit l'a excitée, et beaucoup. Elle sent son sexe qui s'échauffe sous son short ...
«12...161718...33»