« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (25) : Les Aphr
Datte: 17/11/2024,
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Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... con de Tullia. Il aussitôt remplacé par son collègue et grand rival, le thrace Celladius, qui choisit la position que les Romains appelaient Mulier Equitans, Tullia le chevauchant.
Ce sera ensuite le tour d’Ursius le secutor, qui se distingue par ses muscles, mais aussi par une virilité et une endurance qui font que les orgasmes de Tullia qui s’enchainent sont une longue plainte, où se succèdent gémissements, cris puis hurlements.
Epicharis est fascinée par ce qu’elle voit. Elle n’imaginait pas qu’une telle libido puisse exister. Peu à peu, le spectacle l’excite et elle ne peut s’empêcher de se caresser, en même temps qu’elle encourage Tullia par des mots d’amour.
C’est à ce moment que la soirée bascule en orgie. Les suivants sont impatients et ne peuvent attendre davantage. A partir de là, vont se succéder les triples pénétrations, sans laisser de répit à Tullia.
Avant leur venue à Pompéi, Tullia avait informé Sabinus de la situation d’Epicharis, traumatisée par ce qu’elle a subi à Suburre. Elle lui a demandé, s’il en a la possibilité, de faire découvrir à la jolie grecque tout le plaisir que peut donner un étalon tel que Sabinus. L’occasion lui en est donnée par l’excitation d’Epicharis, au fur et à mesure de ce que les gladiateurs font à Tullia. Epicharis ne résiste pas quand Sabinus prend sa main et la pose sur sa queue pour qu’elle le masturbe, ni quand il pousse ...
... sa tête vers sa virilité pour qu’elle lui prodigue une fellation.
Et bientôt, alors que les gladiateurs se relaient pour le plaisir de Tullia, Epicharis s’offre à Sabinus, sans perdre de vue le spectacle érotique torride de Tullia et de ses amants. Les cris de plaisir des deux femmes vont bientôt se mêler dans la douceur du printemps étoilé de Pompéi, dans ce péristyle où se déroulent les pires excès.
Pour Epicharis, c’est une nouvelle découverte, après ce qu’elle avait connu dans les bras de Parsam. Sabinus aura l’intelligence de se réserver Epicharis et de la faire bénéficier de son expérience, alors que Tullia, à elle seule, épuise les gladiateurs. Ce n’est qu’au bout de la nuit qu’elle demandera grâce, après que Crescens et Celladius aient combiné leurs efforts et imposé à l’insatiable patricienne une double pénétration vaginale, où la douleur initiale sera remplacée par un ultime orgasme qui la laisse sans forces.
C’est en prenant, une nouvelle fois, le pseudonyme de Danaé, que Tullia, la matrone hypersexuelle, connait son expérience sexuelle la plus torride. Voulant éviter d’être reconnue sous sa véritable identité, ayant en horreur la violence et le sang, Tullia refuse d’assister aux combats, malgré l’insistance de Sabinus, qui aurait bien voulu que le séjour des jeunes femmes à Pompéi ne se prolonge. Tullia et Epicharis regagnent Baïes.
A suivre 26 « La Bona Dea »