1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (25) : Les Aphr


    Datte: 17/11/2024, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... leur a dit Sabinus fait qu’ils sont en rut. L’entrée de Tullia provoque des sifflets et des cris d’admiration. Tullia porte seulement une tunique transparente, que Sabinus s’empresse de faire tomber :
    
    • Gladiateurs, je vous ai ramené de Rome une merveille, Danaé. Cette patricienne était de toutes les orgies de Messaline et je peux vous dire qu’elle est encore plus chaude que l’Augusta Meretrix. Elle est seule, mais elle est capable de vous épuiser. Elle est à vous, pour la nuit, mes frères !
    
    Tullia est, elle aussi, très excitée devant la virilité de ces hommes. Leur nombre ne lui fait pas peur et elle a hâte de passer à l’action. Mais avant, Sabinus lui présente ses gladiateurs. Il y a le « thrace » Celadius, surnommé decus puellarum (« le charme des jeunes filles »), le rétiaire Crescens, qui se qualifie de dominus puparum (« le maître des filles »). Puis Sabinus présente Ursius, le secutor, « fort comme un ours », Fulgur le provocator, Félix l’hoplomaque, Nicephoros, le mirmillon. Il y a encore Astyanax, Polydromos, Okus, Callidromos, Faustus et Victor, en tout douze gladiateurs.
    
    Une seule femme et douze hommes, de véritables fauves, qui sont là pour le plaisir et qui savent que leur vie dans l’arène peut se terminer le surlendemain, même si les organisateurs et les lanistes veillent à épargner la vie de ces sportifs de haut niveau que sont les gladiateurs.
    
    Epicharis donne un baiser sur les lèvres de Tullia et lui dit à l’oreille combien elle est excitée et ...
    ... impressionnée par ce qu’elle fait ce soir-là. Puis elle s’installe aux côtés de Sabinus pour ne rien perdre du spectacle qui va se dérouler.
    
    Parce qu’elle a plus d’expérience, qu’elle n’est soumise à aucune contrainte et qu’elle veut satisfaire ces hommes qui vont jouer leur vie dans l’arène, Tullia va, cette nuit-là, se surpasser. Elle va commencer, avec ses talents de fellatrice et ses mains, par stimuler les mâles, faire encore monter leur désir.
    
    Parce qu’elle ne peut évidemment les satisfaire tous en même temps, les gladiateurs ont organisé la soirée selon un scénario et un ordre précis, avec trois vainqueurs qui ont gagné aux dés le droit de commencer. Sans surprise, Crescens, le plus expérimenté, aura la primeur. Pas modeste, le rétiaire se dit « puparum nocturnarum, matutiarum et aliarum seratinus medicus » (le médecin des filles de la nuit, du matin, et des autres moments). Il fait mettre Tullia à quatre pattes et commence à la prendre brutalement en levrette. Lui, pas davantage que ceux qui vont suivre ne s’encombrent de préliminaires, de tendresse, de baisers, de caresses. Tullia, et les gladiateurs ne veulent qu’une chose : baiser et jouir.
    
    Dès le début du coït, Tullia exprime bruyamment son plaisir. C’est Sabinus qu’elle remercie de lui avoir permis cela :
    
    • Oh que c’est bon ! Vas-y, Crescens, mets-moi bien ton glaive au fond de mon vagin. J’aime tes coups de boutoir !
    
    Crescens est le premier à rendre les armes, envoyant de puissantes giclées dans le ...