Professeures Bizutées - 8/8
Datte: 16/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... genoux très écartés car ses chevilles étaient encore attachées à chaque bord du lit. Il appuya sur le dos pour la cambrer et commença sa poussée en avant. Bien sûr, la douleur d'écartèlement fut bien présente mais moindre qu'à l'accoutumée et le pal huilé s'enfonça facilement jusqu'au fond. En même temps, une main s'occupa de sa chatte. Il n'avait pas encore éjaculé qu'elle eut un orgasme fulgurant. C'était la première fois qu'on la faisait jouir dans ces circonstances. Quand le violeur lâcha son foutre, elle jouit à nouveau. Les deux autres à leur tour vinrent l'enculer et la faire jouir. Jamais elle n'avait connu tant d'orgasmes. Ils l'abandonnèrent, épuisée sur lit, en sueur, pleine de foutre.
Lorsqu'elle fut en état de se lever, elle trouva une nouvelle lettre de ses maîtres-chanteurs.
* Bonjour Julie,
* Nous sommes venus te dire adieu car désormais, tu es libre.
* Libre de t'habiller comme tu veux, libre de te tenir comme tu veux, libre de toutes les contraintes que nous t'avons imposées. Plus jamais nous n'interviendrons dans ta vie.
* Nous te souhaitons de savoir profiter de ce que tu as vécu. * Signé : Discipline-Team
Julie s'en trouva fort désemparée. Elle se sentait libre, soulagée mais aussi orpheline. Il lui fallu quelques jours pour reprendre des habitudes de vie normale, des tenues vestimentaires traditionnelles.
Pendant cette terrible année scolaire, elle avait vécu l'enfer de l'humiliation en portant des tenues honteuses, en ayant des ...
... comportements dégradants, en subissant d'innombrables sodomies. Car, finalement, quasiment jamais elle n'avait été prise par la chatte mais toujours par l'anus et toujours avec douleurs.
Dès le mois de juillet, elle sombra dans une sorte de dépression, de sentiment de solitude, d'abandon.
Le 16 juillet, elle sortit de sa voiture, le cœur en émoi en raison de sa décision. Elle était nue sous son imperméable. Elle traversa la rue et entra dans la maison après une brève pression sur la sonnette.
Deux hommes d'environ quarante et cinquante ans ainsi qu'une femme jeune attendaient. Elle les salua et prit la quatrième et dernière chaise. Le silence régnait, normal certes mais d'autant plus angoissant qu'elle savait ce qu'elle devait y faire. Elle se prit le visage dans les mains, réfléchit une ultime fois à sa décision. Puis, en un mouvement brusque, elle se leva, retira son imperméable, le posa sur la chaise et alla se placer le nez collé au mur à côté de la porte d'entrée. Elle tournait le dos aux trois autres si bien qu'elle ne vit pas leur effarement.
Elle ne vit pas non plus la surprise du vieux médecin lorsqu'il vint chercher son patient suivant. Elle avait en effet décidé de se donner à ce vicieux docteur, celui-là même qui l'avait durement humiliée et même sodomisée.
Stupéfait, il demanda :
- Mais que faites-vous ici aujourd'hui? Nous n'avions pas rendez-vous!
- Non docteur mais... c'est urgent, répondit-elle sans se retourner.
Aux autres, le médecin ...