Professeures Bizutées - 8/8
Datte: 16/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... bien d'autres jupes. Tu peux mettre autre chose.
- Non, répondit sèchement Julie, je ne peux pas. Je ne peux pas t'expliquer mais je ne peux pas mettre autre chose. Ni d'ailleurs d'autres gilets hélas!
Cela clôtura la discussion. Elles entrèrent courageusement dans l'établissement.
L'homme d'entretien du lycée n'avait pas voulu pas négliger sa mission : trouver des imperméables pour les bizutes. Après maintes recherches sur le web, il avait commandé quatre vêtements en vinyle noir, col profond en V, forme trench bien évasée sous la taille. Il n'avait pas voulu prendre une taille unique comme proposé par François. C'eut été trop facile pour les petites, avait-il pensé. Aussi, après avoir consulté les dossiers administratifs des enseignantes, il avait récupéré leurs mensurations et commandé systématiquement une taille en dessous. En plus, il s'était adjoint les services d'une couturière pour ajuster la longueur des impers.
Quand elles arrivèrent au couloir de la salle des professeurs, justement nommé « couloir de la mort » par les bizuteurs, Julie et Amélie aperçurent immédiatement Elisabeth et Jennifer, les mains sur la tête, le nez collé au mur qui faisait face à la porte, entièrement nues.
- Mettez-vous vite comme nous, indiqua l'autoritaire Elisabeth, ce sont nos ordres. Attendre comme ça. Quelle honte! Quelle bande d'ordures!
Sans perdre une seconde, les nouvelles prirent place.
Et l'attente commença. 3 minutes, 5 minutes, 10 minutes constata Amélie ...
... en consultant sa montre pour reposer ses bras. Le froid du couloir glaçait les fesses nues, tendait les tétons outre mesure. Dans le silence qu'elles n'osaient pas rompre, des claquements de pas arrivèrent de leur droite. Nulle ne tourna la tête. Était-ce un de leur maîtres, un élève?
Les pas se rapprochèrent jusque dans leur dos. Puis une claque et un "aïee" de surprise de Julie rompit le silence. Puis encore une autre claque. Puis encore et encore. Elle ne virent pas que c'était monsieur FRAGOT, le représentant des parents d'élèves, qui s'en donnait à cœur joie sur les culs alignés. François avait eu l'idée vicieuse d'offrir à FRAGOT ce moment de plaisir, en contrepartie d'appréciations favorables pour eux-mêmes les professeurs bizuteurs.
Il frappait de haut en bas pour les minces fesses de Jennifer ; de bas en haut pour le gros cul d'Amélie et en pleine chair pour les deux autres ; précipitamment ou bien en laissant le silence faire craindre la prochaine attaque. C'est Julie qui craqua par de chaudes larmes. Les trois autres résistèrent.
Le supplice dura un bon moment. Finalement, François sortit de la salle des professeurs pour arrêter le tortionnaire qui déclara :
- Vraiment un grand merci pour ce moment, déclara-t-il, un vrai régal. Mais putain que j'ai mal aux mains! J'adore les fesses de votre prof d'anglais, putain qu'elles sont bonnes! Comptez sur moi pour les appréciations des parents d'élèves. A bientôt cher ami et encore merci.
Stupéfaites qu'elles ...