Professeures Bizutées - 8/8
Datte: 16/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... vous écoute.
- Je... je voudrais redevenir votre... je voudrais me mettre à vos ordres... Moi, Elisabeth Grosse... Chatte... Je me mets à vos ordres, monsieur. Vous pouvez faire... faire de moi... ce que vous voulez... Je vous obéirai, quelque soit le jour, l'heure... ou l'ordre.
Ce disant, la peur arriva aussi vite que les mots. Devant le lavabo des toilettes, elle écarta les jambes.
- Etes-vous sûre de vous Elisabeth RAMPLANT?
- Oui... oui monsieur, je suis... sûre.
- Alors écoute bien ceci, Grosse Chatte Poilue. Tu vas commencer par demander une réaffectation dans mon lycée. Plus question de bizutage cette fois mais je te veux à porter de mains tous les jours. Désormais, tu porteras des bas et des grandes culottes bien collées à ta touffe. Je veux que ta culotte soit toujours mouillée de ta pisse.
Le flot commença à s'écouler bruyamment sur le carrelage peu propre des toilettes.
- Quand je dis toujours, ça veut dire du matin au soir, tous les jours, dimanches compris. Tu as bien compris? Demain, dans la matinée, viens chercher la suite de tes ordres à mon bureau.
Elle porta une main dans sa culotte, oubliant complètement qu'elle pourrait être surprise. Un violent orgasme la fit trembler de tout le corps et bredouiller un acquiescement.
Elisabeth RAMPLANT, étourdie de plaisir et d'alcool, reprit sa place à la table du café. Elle dut remonter sa jupe pour éviter qu'elle ne soit tâchée par la culotte détrempée si bien qu'elle offrit à un client ...
... la rare vision de jarretelles sur une peau blanche. Elle venait de se donner à nouveau à monsieur le proviseur du lycée, le fanatique de l'ondinisme. Elle savait qu'elle allait subir maintes hontes et cette perspective l'obligea à serrer à nouveau les jambes pour éviter que son plaisir ne s'écoule à terre une fois encore.
EPILOGUE AMELIE
Amélie n'eut guère de repos après la fin des cours. Bien sûr, elle échappait à la nudité au lycée, aux allers-retours entièrement déshabillée depuis sa maison jusqu'à son véhicule mais, même pendant les vacances scolaires, son mari Gabriel avait exigé qu'elle restât toujours à poil chez elle. Nicolas et Louis, les amis de Gabriel, exploitèrent l'occasion. Elle dut les recevoir trois fois courant juillet et céder à leurs débords. De temps à autres, Gabriel jouissait de la soumise mais finalement pas tant que ça et pour le peu qu'il la prenait, elle restait de marbre pour bien lui montrer sa haine. Cette sombre histoire de bizutage avait tué leur couple.
Finalement, seul son voisin d'en face, sut combler le vide existentiel qu'elle ressentait depuis la fin des classes. Pourtant, ce voisin, prénommé Robert, avait tout pour générer du dégout : sale la majeure partie du temps, libidineux, vulgaire. Il était doté d'une impressionnante queue qu'Amélie avait déjà prise dans l'anus, non sans mal.
Le premier dimanche matin d'août, alors que Gabriel venait de partir pour son hebdomadaire parcours de pêche à la ligne, elle reçut un appel ...