1. Halloween au lotissement du château


    Datte: 16/11/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, grosseins, amour, caresses, Oral pénétratio, délire, occasion, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... commencent à s’entrechoquer et nous sommes distraits par la mise en veille de la télé ; un silence s’impose dans le salon où ne s’expriment plus que nos râles.
    
    Poussé par mon fétichisme mammaire, je me penche et tends les doigts pour agripper l’un de ses ballons de hand. Sally anime son cul et déclenche une subite montée de lave… Je la sens violente, épaisse, large et je m’immobilise au fond d’elle pour délivrer ce qui doit être de la purée ? Je ne peux m’empêcher de hurler, la pression dilate trop ma queue et le plaisir fuse en elle… deux fois… quatre fois… six fois… Dehors, le voisinage a dû m’entendre, mais je m’en fous ! Je me déverse encore… copieusement…
    
    Hmmm…
    
    Bon sang ! Je sais que cet instant va longtemps me hanter.
    
    Je n’en ai pas encore fini avec toi. Je n’ai pas giclé ma dernière goutte que je reprends mon pilonnage, Sally s’intrigue et pose une main sur ma main, tente de la repousser, mais en vain.
    
    Je reprends le rythme, le sport est mon allié, mais je ne sais pas si j’arriverai vivant au prochain déchargement.
    
    Après quinze minutes, je suis toujours là, ça passe ! Mes assauts plus approximatifs font voler ses talons hauts qui retombent lourdement sur le sol. Sally faiblit sur ses appuis. Pour la première fois de la soirée, la tonalité de ses gémissements esquisse son prochain abandon par des couinements plus rapprochés.
    
    Je la redresse sur ses genoux et prends ses deux globes à pleines mains, je la serre contre moi, sur mon pieu, mais je la ...
    ... sens qui m’abandonne physiquement, elle devient lourde et je la relâche… Elle se réceptionne sur une main et rate son orgasme, avant de s’essouffler… Je pose une main sur sa bouche, son corps tremble sous le mien, je l’insulte, ça semble lui plaire, alors je dose… pour l’amener doucement vers sa jouissance.
    
    J’approche ma bouche de son oreille :
    
    — T’aimes ça, vieille salope ? La prochaine fois, je t’encule !
    
    Ma main bâillonne sa réponse, mais son menton me dit « oui », quand soudain, elle pousse un long râle, elle cherche en vain à repousser ma main, tente de me mordre, avant de s’écrouler sur le canapé. Son corps frémit sous moi, son sexe palpite autour du mien. Je n’arrête pas, je continue à la forer sur ses gémissements de femelles.
    
    Putain, mais qui suis-je devenu ? Je suis une bête, mais ça ne lui déplaît pas. Je n’arrête pas tant que mon cœur n’a pas lâché.
    
    Alors que nos corps moites se couvrent de sueur, que les senteurs du salon soulignent les mots grossiers qui y résonnent, je jette mes dernières forces à l’annonce de l’arrivée, dernier coup de reins animal au fond d’elle et je délivre le reste, nouvelle dose… Ça m’excite de l’ensemencer.
    
    C’est terminé. J’essaye de me décoller d’elle, je pousse sur mes bras, mais je ne peux faire mieux : je peine à retrouver mon souffle, ma bite a quitté sa chatte, mais je ne peux pas plus. Mon regard se pose sur son dos : l’ai-je cassé ? Elle ne bouge plus ? Son corps chaud, sa fente coulante : je pense plutôt qu’elle ...
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