Halloween au lotissement du château
Datte: 16/11/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
grosseins,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
délire,
occasion,
Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe
... de ne pas pouvoir retenir trois semaines d’abstinence. M’en fout si c’est ouf de baiser une femme de soixante-dix ans ! Elle est divine, ma salope !
Elle s’interrompt et replace ses cheveux en arrière, puis se lève maladroitement, déstabilisée par ses talons hauts ou par sa lourde poitrine. Elle me toise comme si elle allait me gronder, elle glisse ses fragiles mains dans son dos pour… se défaire de sa robe. J’en profite pour me mettre à poil, je me rassois, alors que son déhanché provoque la chute de sa robe le long de son corps plus maigre que mince. En plus de ses bas, elle porte un string et un soutien-gorge aux bonnets on ne peut plus garnis. Quelques taches brunes voisinent avec des vergetures, mais je suis en appétit. Je prends ma pine en main et l’astique pour me rassurer, alors que crinière blanche peine à garder l’équilibre pour enlever son minuscule bout de dentelle.
Sally se rapproche, face à moi, elle m’enjambe et vient au-dessus de mes cuisses, elle fléchit les genoux en chopant de ses doigts décharnés mon bois pour viser sa fente… J’ai juste le temps de réaliser ses grandes lèvres sur mon gros gland qu’il glisse vers son con… La chatte de Sally m’accueille… J’entre… Hmmm…
Je suis au fond d’elle, entier, et j’hésite ; elle est brûlante et je savoure sa minette autour de ma pine.
Je commence à m’activer, involontairement, elle me balance son 90D contre mon visage, irrite mes narines avec son eau de toilette et je baisse l’un de ses bonnets : je ...
... remarque une petite cicatrice sous son aréole, alors que je sens sa grosse tétasse durcir sous ma succion.
Elle dégrafe son carcan et prend ses deux globes à pleines mains, difficilement, j’inspire nerveusement à plein poumons. Putain qu’elle est bonne, la vieille.
— Je vais te prendre à quatre pattes !
— Fais durer !
Nos corps se séparent…
Sally se lève et focalise son regard sur mon mat. Mes hormones commandent au « mari parfait ». Je saisis son bras maigre et, de ma main libre, je la pousse dans le dos pour lui imposer – la – position qui lui semble peu familière.
Elle pose ses genoux, ses mains sur le canapé et tourne la tête dans ma direction, sa poitrine ne bouge presque pas. Je m’agenouille derrière son fessier que je stabilise entre mes mains. Mon regard vise sa fente rose et son trou d’honneur serré, mais nullement vierge.
L’experte tourne une nouvelle fois la tête et m’interroge du regard, mais je n’ai pas de réponse. Elle n’est pas rassurée, elle me surveille, comme si j’étais un méchant garçon et las, je reprends mon bélier que je plante dans sa fente… Sally courbe le dos et je glisse en elle jusqu’au fond de sa chatte, avant de retourner « au charbon ».
— Fait durer ! » qu’elle a dit tout à l’heure, mais désolé, je suis à cran, pas un acteur de film de boules.
Les questions existentielles ont quitté mon esprit : j’y vais avec enthousiasme, je baise sa fente à grands coups, afin de faire de l’ombre à ses jeunes soupirants.
Ses seins fermes ...