1. En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37


    Datte: 14/11/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... par mon travail, je n’avais pas l’occasion de sortir. Puis de fil en aiguille, nous avions couché ensemble et nous nous sommes mis en couple. Lui ne voulait pas entendre parler d’hôtellerie, au grand dam de ses parents qui m’adoraient car pour eux, j’étais la belle-fille idéale, ma vie était parfaitement tracée : La future Patronne de leur Hôtel ». Après avoir fini sa tasse de café, je lui demandai où en était sa relation intime et pourquoi elle postula à ce nouveau poste :
    
    « Je n’étais plus amoureuse de Florent depuis deux ans et je ne sais pas si je l’ais été un jour. Seulement je pensais être dans une mauvaise passe que tout allait s’arranger avec le temps. En définitive je compris que j’avais peur de perdre ma place si je le quittais. Il menait la grande vie et très vite, notre vie sexuelle s’était peu à peu détériorée pour devenir complètement nulle. » C’est à partir de ce moment que j’avais couché avec une jeune employée qui m’a fait découvrir, une autre forme de sexualité. Quand Florent l’a su, il l’a fait mettre à la porte. J’ai pris la sage décision de répondre à votre annonce. »— Vous comprenez, je n’ai jamais eu que le travail comme famille…
    
    Lorsque Betty avait fini son histoire, elle avait les larmes qui coulaient sur ses joues, je ne pus m’empêcher d’avoir également les larmes aux yeux, Je m’accroupis devant elle en lui prenant ses mains dans les miennes. À ce moment, j’avais eu envie de l’embrasser, cependant, je m’étais retenue de le faire. Je m’étais ...
    ... relevée, avais servi une nouvelle tasse de café afin qu’elle reprenne ses esprits. Je l’avais prise dans mes bras et lui fit une grosse bise sur la joue. Elle me sourit puis machinalement, je lui demande : « Quelle est la deuxième raison de cette rencontre ? » Toujours enlacées comme deux amies, là encore, après un temps d’arrêt, Betty me dit : « Je crois que je ne pourrai pas rester, ça va être trop difficile pour moi. »— Que dis-tu là, voyons. Bien sûr ! J’ai confiance en toi et ensemble nous parviendrons à faire de cet hôtel un lieu privilégié.
    
    — Ce n’est pas ça ! Je préfère être franche et vous dire avant que vous m’embauchiez. Je suis très attirée par vous, Josiane.
    
    Elle s’était resserrée un peu plus contre moi et avait posé sa tête contre mon épaule, je ne savais plus quoi dire, ni que faire. Moi aussi j’avais envie d’elle, pourtant nous n’étions ni l’une ni l’autre, des lesbiennes. Nous étions restées, enlacées ainsi pendant de longues secondes qui me semblèrent être une éternité. Puis je repris la parole en disant : « Écoute Betty, ne change rien, tu es magnifique. Tu peux compter sur moi, tu as trouvé ici ta nouvelle famille. » Ayant nos visages encore l’un près de l’autre, je lui déposai une bise sur la joue, en signe d’affection, je ne désirais pas avoir de relations intimes avec mon personnel et encore moins avec mon représentant direct.
    
    Pourtant Betty voulait transformer ce petit signe d’amitié en un baiser passionné en posant ses lèvres sur les miennes en ...
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