En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37
Datte: 14/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... poste. Ce fut la raison pour laquelle, nous ne l’avions pas écarté définitivement de la course. Je lui avais dit que je le tiendrais au courant d’ici deux semaines.
En effet, afin de montrer sa motivation et ses compétences, Betty m’avait demandé de me parler en aparté. Elle désirait ce poste plus que tout, elle m’avait proposé de faire une étude approfondie de la gestion de l’hôtel, durant dix jours, ce que j’avais accepté. Accompagnée d’Étienne, ils avaient évalué point par point et avaient calculé la rentabilité de mon établissement. Mon ami avait pu apprécier son Leadership, sa rigueur, son organisation. Je savais que je prenais un risque en choisissant une personne aussi jeune, cependant pour la clientèle masculine, ayant travaillé dans une branche similaire, je savais par expérience que la beauté féminine était un gros atout dans le commerce.
Physiquement, Betty me plaisait beaucoup, ce fut la raison pour laquelle, sur les deux candidats restants, ayant les mêmes aptitudes, je l’avais choisie. Elle avait le profil m’avait dit Étienne, d’une taille moyenne, svelte et élégante, avec de très jolies formes, ses cheveux bruns étaient tirés en arrière, formant un petit chignon à l’arrière de son crâne, un joli visage allongé, les yeux en amande légèrement bridés probablement une métissée eurasienne. Pendant ces dix jours sans clients, moi aussi je l’avais appréciée, elle m’était très sympathique, joviale et avenante. Cette jeune femme avec son allure déterminée, était ...
... stricte et directive avec le personnel, néanmoins, elle n’hésitait pas à sourire aux hommes comme aux femmes.
En voyant les regards admiratifs que Betty me portait, j’avais eu un doute. Toutefois, je n’étais pas parvenue à déterminer sa sexualité. Son essai n’était pas terminé, elle devait repartir à Lyon le samedi midi, pour revenir deux semaines avant l’ouverture, afin de veiller à que tout soit en place. Ce mercredi après-midi, elle demanda à me voir. Lorsque je l’avais reçu dans mon petit salon, j’étais seule. Karine venait de partir faire sa longue ballade journalière avec Mary avant de passer au jardin d’enfant. Nous avions pris le café, installées chacune face à face sur les fauteuils. Cette entrevue devait être courtoise et non pas, strictement professionnelle.
Pourtant, lorsqu’elle prit la parole après toutes ces banalités d’usage et de politesse, elle me dit d’un ton assez mélancolique : « Je désirais vous rencontrer pour deux choses. » La première, était tout d’abord pour me remercier de lui avoir fait confiance et de l’avoir choisie : « Je vous en serai reconnaissante toute sa vie. » Puis lorsque je lui demandai pourquoi elle avait voulu quitter ce bel hôtel à Lyon, je l’avais sentie un peu gênée de m’en parler. Cependant, avec toute sa détermination, le respect et la confiance qu’elle me portait, elle se jeta à l’eau.
« J'ai vécu cinq années avec Florent le fils des propriétaires. La première fois, je m’étais laissé surprendre nous avions flirté. Prise ...