En manque, « Josy » la petite salope trouve son gigolo. Épisode 37
Datte: 14/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
En janvier 91, cela faisait trois mois que je n’avais pas de nouvelle de Thierry, pourtant je pensais toujours à lui, notamment lorsque le soir je me retrouvais seule dans mon lit. Jean-Jacques m’ayant quitté depuis, je n’avais que quelques petites relations sexuelles nécessaires à mon bien être mais surtout ma collection de pénis que j’utilisais en cas de besoin lors de mes multiples masturbations. Bien entendu, je préférais de loin une verge réelle que je pouvais toucher, caresser, branler mais aussi lécher, sucer et avaler. Il devenait de plus en plus difficile pour moi de trouver un amant dans la mesure où j’attendais toujours celui que j’aimais.
Le projet d’hôtel avait avancé, les propriétaires avaient baissé le prix mais je devais effectuer les travaux à ma charge. Tout en suivant les conseils de mon notaire, conseillé juridique et financier, je n’avais pas mis tous mes œufs dans le même panier. Nous avions créé la Société « Josy-hôtel » dont j’étais majoritaire, avec Daniel, Françoise et quelques amis investisseurs. J’avais donc investi le tiers de mon héritage et avait emprunté le reste pour l’acompte et les travaux. À cette occasion, ayant subi les avances directes du jeune banquier, j’avais accepté de déjeuner avec lui et la deuxième fois, je l’avais suivi volontiers dans une chambre d’hôtel où nous nous étions amusés pendant trois quart d’heures.
Maintenant que je redevenais une femme active avec un réel emploi du temps à l’extérieur, je devais absolument ...
... trouver une nourrice pouvant assurer les repas, un peu de ménage et surtout garder ma petite Mary qui allait sur ses trois ans. Après avoir reçu une bonne quinzaine de lettres avec CV, j’en retins six pour un entretien. Les quatre femmes d’un certain âge étaient probablement d’excellentes nourrices, cependant celles-ci n’étaient pas prête à venir garder Mary chez-moi. Il me restait que deux candidates, la première avait vingt-cinq ans, elle avait tous ses diplômes mais je m’étais aperçue que le fait que ma petite soit métissée, l’avait surprise. Mon choix se porta donc sur la seconde une fille de l’Ddass.
Celle-ci était venue se présenter avec en sa possession une excellente lettre de recommandation de son ancienne patronne chez qui elle travaillait depuis quatre ans comme baby-sitter. Karine n’avait pas encore 19 ans, une jolie blonde aux yeux vert. Le petit problème qui n’en était pas un pour moi, elle était naïve et présentait une déficience intellectuelle légère, elle avait donc quelques difficultés à exprimer ses attentes, à faire certains de ses choix, mais ne se trompait jamais en ce qui concernait les enfants qu’elle gardait. Si elle n’avait pas eu son brevet des collèges cela ne l’avait pas empêché d’obtenir son diplôme : CAP petite enfance. Je voyais bien qu’elle adorait les gosses, en à peine une heure de temps, Karine et Mary s’étaient déjà mutuellement adoptés.
N’ayant plus de domicile, Karine résidait chez-moi, je n’avais plus la chambre d’amis de disponible ...