1. Modèle d'Exposition


    Datte: 13/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... pensais plus à mes couilles, mais à la souffrance qui irradiait de ma poitrine. Il fut satisfait, pris une photo et lui aussi me laissa ainsi. La fermeture était proche, aussi Victor vint me libérer de toutes ces souffrances, doucement, presque tendrement. Me passant une pommade et se déclarant très satisfait. C'était si bon d'être ainsi réconforté.
    
    Un autre soir, ils avaient décidé de mettre en avant tous les instruments pour frapper ou marquer. Toujours dans mon carcan, cela semblait plaire à la population. Le cul toujours fermé d'un plug, je ne manquais pas de remarquer que le plug était de plus en plus énorme. Comment aurais-je pu le manquer, tant à la fin de ces deux semaines, sa seule présence était un supplice sans fin.
    
    Ainsi exposé, les clients pouvaient tester les instruments mis à leur disposition. Cela n'avait rien à voir avec une flagellation car je recevais un ou deux coups, parfois une série, mais rien de très long. Mais cependant des coups parfois d'une violence inouïe pour tester l'accessoire. Je bondissais, hurlais, au grand plaisir des clients. Mes fesses, mon dos et mes cuisses furent rapidement couvert de marques diverses et variées. Je sentais mes fesses en carton et j'étais un peu inquiet. J'espérais que là aussi Victor aurait une crème.
    
    Mais ce ne fut rien, avant qu'une jeune femme, au regard noir, clairement une dominatrice, ne se saisit d'un accessoire appelé griffes de tigre. Une réplique en acier d'une patte de tigre, aux dents plus ...
    ... qu'acérés. Elle me lacéra le corps, longuement, méthodiquement, cherchant à me faire le plus mal possible, à faire couler aussi le sang partout, insensible à mes cris. J'aurais voulu demander pitié, mais les mots même ne venaient pas. La brûlure était profonde, continue, intense. Bien pire que le moindre coup de canne. L'engin sembla lui plaire puisqu'elle décida de l'acheter.
    
    A la fermeture, j'étais tremblant de souffrance, le corps à vif. Victor me consola. Ils partirent tous dîner ensemble, sans même penser à m'inviter. C'était surprenant comme une fois le magasin fermé, personne ne s'intéressait à moi. Victor vu ma souffrance d'être ainsi exclus de leur cercle : - Eh bien tu sembles tellement avoir envie de faire partie de notre groupe n'est-ce-pas?
    
    - Oui Monsieur
    
    - Mais tu sais que ce n'est pas possible, non?
    
    - Pourquoi ce n'est pas possible?
    
    - Ce n'est pas ta place, voyons. Tu ne l'as pas compris?
    
    - Pas ma place?
    
    - Non bien entendu. Tu n'as rien à voir avec nous.
    
    - C'est quoi ma place, Monsieur.
    
    - Tu ne le sais pas encore? Vendredi tu le sauras à coup sûr, tu verras.
    
    Et il partit. Vendredi c'était ma dernière soirée, avant que je ne puisse avoir les vêtements que je convoitais. J'avoue que je n'y pensais plus du tout. Tellement d'autres sensations avaient pris place dans ma tête. Mais quelle était donc cette place dont il parlait? Et qu'allais-je pouvoir faire après vendredi? Peut être serait-il possible de pérenniser cette expérience?
    
    Le jeudi ...
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