Chroniques du temps passé.
Datte: 10/11/2024,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
uniforme,
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... par ailleurs n’existe peut-être même pas, entre ses hanches de garçon, sa minuscule poitrine digne d’une mouflette de dix ans et les trois poils qui se battent en duel sur son mont de venus, elle a vraiment l’air d’une gamine ! De toute façon, il a déjà fort à faire avec sa mère et sa belle-sœur qui, toutes deux, n’aiment rien tant que d’être visitées par l’entrée des artistes sous le prétexte officiel de ne pas risquer d’avoir d’enfants. Mais comme dirait l’autre, mon cul !
Et pendant ce temps, du côté de la bonneterie de sa sœur Suzanne, les affaires vont bon train, à tel point qu’elle vient de s’ouvrir à la confection et à la vente de robes de mariées. Et là, deux écoles cohabitent : les futures épouses qui ont connu Titi ou, plus rarement, un autre homme et qui savent donc ce qui va se passer lors de leur nuit de noces, et il y a celles qui, pour des raisons aussi diverses que variées telle qu’une sombre histoire d’amour ou de virginité, n’ont jamais eu la chance de croiser son chemin. Mais, qu’elles soient expérimentées ou innocentes, elles se donnent toutes rendez-vous dans l’arrière-boutique, et pour cause ! Si la vitrine est le paradis des corsets, dessous de robe et autres culottes de coton à peine moins grandes qu’un drap de lit, l’arrière-cour, elle, est réservée à une lingerie que l’on ne trouve quasiment nulle part ailleurs et qui fait la part belle aux serre-taille, guêpières et autre porte-jarretelles bien plus fins et élégants que ceux qui sont offerts à ...
... la clientèle habituelle. Et puis il y a aussi tout un rayon de chemises de nuit toutes plus courtes et froufroutantes les unes que les autres, où le tulle se dispute aux dentelles les plus fines et les transparences au raffinement.
Mais cela, si j’ose dire, ce n’est que le service après-vente… Parce que Suzanne se fait un devoir d’apprendre aux jeunes mariées qui le désirent comment passer la plus belle nuit de noces possible et, surtout, comment s’y prendre par la suite pour que leur bonhomme n’ait pas envie d’aller voir ailleurs. À l’école, on leur apprend la cuisine mais si l’on retient un homme par la gueule, on l’attrape d’abord par la queue !
Cela commence souvent par un petit cours d’anatomie comparée où tout ce petit monde, à commencer par Suzanne, se retrouve le cul à l’air et où son expérience personnelle ainsi que ses études même inachevées d’infirmière font merveille.
— Alors là, vous voyez, il y a un petit organe que l’on appelle clitoris, si vous mouillez votre doigt comme ça et que vous le trifouillez comme ça, vous allez en tirer beaucoup de plaisir…
Parce que bien sûr, elle joint le geste à la parole assez rarement sur elle-même mais la plupart du temps sur l’une de ses élèves qui, bien souvent, se prend la première extase de sa vie. Là encore, avoir fréquenté certaines écoles lui ont donné l’occasion de perfectionner sa technique des amours saphiques ! Ne reculant jamais devant l’ampleur de la tâche, elle leur apprend également les rudiments du ...