Chroniques du temps passé.
Datte: 10/11/2024,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
uniforme,
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... retiré au tout dernier moment, et une longue traînée de foutre dégouline désormais sur le bas de sa partenaire, qui ne peut s’empêcher de remarquer que, malgré ce qui vient de se passer, le mandrin de Titi est toujours aussi inflexible que la justice…
Et vlan, c’est reparti pour un tour ! Cette fois, la boulangère se retrouve prise en levrette, le nez entre les sacs de farine tandis que Titi, les mains crochées sur ses hanches, lui laboure consciencieusement la boite à ouvrage… Mais il n’en demeure pas moins que sa jouissance à elle semble tarder à pointer le bout de son nez. Qu’à cela ne tienne : même si personne ne sait d’où il tient cette technique, celle-ci est terriblement efficace et a déjà fait ses preuves… Tout en continuant de lui administrer ses monstrueux coups de pilon, il vient de lui glisser deux doigts sur son bitoniau d’amour et alors là, c’est l’apothéose ! En l’espace d’un quart d’heure, sa patronne vient de prendre son pied deux fois de suite, ce qui ne lui était sans doute jamais arrivé malgré toutes ces années de mariage !
Quelques minutes plus tard, tandis qu’ils reviennent au fournil en s’efforçant de n’avoir l’air de rien, le boulanger s’étonne que le visage de sa chère épouse soit couvert de farine… S’il était un peu plus observateur, il remarquerait que des cernes viennent subitement de lui pousser sous les yeux et qu’elle a une bien curieuse démarche… Mais c’est une autre histoire.
Que se passe-t-il par la suite ? C’est bien difficile à ...
... dire ! La boulangère s’est-elle émue de sa bonne fortune auprès de ses amies ? Toujours est-il que l’on demande à Titi d’aller réparer la lumière du jardin de la famille Belair qui, comme des milliers d’autres, ne compte plus d’hommes depuis les événements que l’on sait et, dans cette grande maison ne vivent plus que la fille, la mère et la grand-mère. Et là, la formidable particularité de Titi fait merveille puisque la première se prend également le premier panard de sa vie sur la margelle du puits, la mère, en l’entendant crier, réclame bien vite sa part du butin lorsqu’elle remarque que le mandrin est toujours opérationnel et, elle aussi se prend un billet pour le septième ciel. Et comme il paraît que l’on dit jamais deux sans trois, c’est au tour de la toujours jeune grand-mère de se prendre un tour de manège où elle aimerait bien rattraper les années de disette qui viennent de s’écouler depuis la disparition de son mari, quelque part du côté de Craonne.
Bref, toutes celles qui le désireront auront droit aux faveurs de Titi… La seule qui ne sera jamais satisfaire sera Ginette, la fille de l’épicier et pourtant, ce ne sera pas faute d’avoir essayé ! Pendant des semaines, elle va se débrouiller pour que notre maître queutard la voit nue à la moindre occasion ou lui montrer qu’elle ne porte rien sous sa jupe : rien n’y fera. La cause ? Elle est toute simple : elle n’a que quinze ans… Et même si à l’époque l’on est beaucoup moins regardant qu’aujourd’hui sur un âge légal qui ...