1. Chroniques du temps passé.


    Datte: 10/11/2024, Catégories: fh, ff, ffh, uniforme, collection, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme pénétratio, Partouze / Groupe historique, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... que mènent leurs conjoints. Alors, pourquoi tu fais ça, simplement par plaisir ?
    — En fait, oui et non… Mon vrai plaisir à moi, c’est de croiser tous ces gros cons et de sourire en me remémorant la tournée que j’ai mise à leur bonne femme pendant la nuit… S’ils savaient…
    
    De fait, si d’aventure certains avaient voulu défiler à Paris quelque temps plus tard, ils auraient eu bien du mal à passer sous l’Arc de Triomphe ! Mais au même moment et à des centaines de kilomètres de là, ce n’est bien évidement que par dévouement envers la patrie que quelques prisonniers un peu plus chanceux que d’autres, notamment dans les fermes du Tyrol et d’ailleurs, se retrouveront obligés de faire reluire la Gretchen matin, midi et soir ! Non mais franchement, quelle abnégation, quelle belle preuve de patriotisme !
    
    Les experts actuels sont formels : à partir de 1943 et notamment de Stalingrad, l’Allemagne ne pouvait plus gagner la guerre… Mais il faut croire que quelqu’un avait oublié de les mettre au courant ! Du coup, dans le ciel, c’était un véritable défilé de Forteresses volantes ou de Lancaster, bien souvent accompagnés de leurs escortes de Mustang, Spitfire et autres P38 qui s’en allaient bombarder les industries de l’ennemi mais aussi, malheureusement, pas mal de civils.
    
    Naturellement, l’ennemi en question ne voyait pas cela d’un bon œil… Avec, à la clé, un bon nombre d’aviateurs alliés qu’il fallait dans un premier temps rapatrier, parfois soigner mais, par-dessus tout, ...
    ... évacuer… La méthode de récupération, aussi risquée soit-elle, était assez bien rodée, avec l’aide précieuse de certains gendarmes. Pour les médicaments, là encore c’était relativement simple : il suffisait que Suzanne se balade dans l’un de ces déshabillés dont elle avait le secret en attendant qu’un officier vienne lui en coller une tournée pour que tous les soldats se mettent subitement à regarder ailleurs et permettre à quelques complices d’aller se servir discrètement dans les infirmeries allemandes, généralement assez bien achalandées.
    
    Pour l’évacuation, c’était une autre paire de manches et, c’était encore bien plus risqué ! Il fallait procurer des vêtements civils à ces aviateurs, les faire sortir via les différentes issues du tunnel du village sans se faire repérer de la milice et des collabos, et ensuite les amener jusqu’au fleuve où ils seraient embarqués dans des barques à double fond spécialement construites à cet effet et ensuite… Eh bien, ensuite, ni le comte ni personne ne savait où ils allaient et c’était très bien ainsi : si d’aventure les choses devaient mal tourner, quelqu’un qui ne sait pas ne peut pas parler, même sous la pire des tortures.
    
    Une nuit, ce n’est pas moins d’une douzaine d’aviateurs alliés qui furent récupérés et là, il n’y avait pas à tortiller, il fallait s’en débarrasser le plus vite possible, sauf que… Les Allemands étaient sur les dents, ils avaient déjà du mal à digérer que quelques pilotes leur passent sous le nez, mais une telle ...