Chroniques du temps passé.
Datte: 10/11/2024,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
uniforme,
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... leurs chers maris, elles ne sont pas complètement accros au champagne assaisonné au foutre de taureau ou au cognac parfumé à la pisse de jument, les femmes, elles et pour parler clairement, s’emmerdent !
Et c’est là que la comtesse et Titi vont entrer en scène : ce n’est strictement que par dévouement envers la patrie qu’elle va se débrouiller pour se faire surprendre par quelques-une d’entre elles en train de se faire joyeusement visiter la boite à ouvrage par notre ami, le tout en travers du piano. Est-ce également par esprit de sacrifice qu’elle va se prendre un invraisemblable panard sous ses coups de boutoir ? Bien évidement, comment cela pourrait-il en être autrement ? Est-ce toujours l’amour de la patrie qui va l’amener à se faire remettre le couvert par deux fois et, de nouveau, brailler encore et encore ? Cela va sans dire !
Ce n’est d’ailleurs que pour le bien de la nation que, tout au long du reste de la guerre, elle se fera régulièrement ramoner l’entresol par Titi, y compris en l’absence d’éventuels spectateurs… Mais en attendant, la capacité de notre ami à expédier la comtesse trois fois de suite à des altitudes qui laisseraient rêveur Vernher Von Braun n’est pas passée inaperçue.
Là, par contre et contrairement à sa sœur, dont les performances sont de notoriété publique – tout du moins au château, au village c’est autre chose –, il vaut mieux qu’il reste discret ! Mais ça ne rate pas : le lieutenant Schaeffer doit effectuer des rondes avec ses hommes ...
... ? Katharina lui fait savoir que la lampe de sa table de nuit ne fonctionne pas… Il n’empêche qu’au matin, une petite lueur se sera allumée dans ses yeux, Titi lui ayant fait découvrir les plaisirs qu’il y a à se faire vigoureusement labourer l’arrière-train alors que c’est une faveur qu’elle n’avait jamais accordée à son couillon de mari. Les capitaines Schwartz et Kempf ont été appelés à l’état-major en urgence ? Pas de problème, satisfaire deux femmes en même temps n’a jamais posé de problèmes à Titi ! Et si la barrière de la langue devrait être un obstacle, il sait si bien se servir de la sienne dans le compas de leurs jambes que bien avant d’avoir sorti sa queue, les deux femmes en sont déjà à se demander où elles habitent. Et ça continue encore et encore, c’est que le début d’accord d’accord… Heu non, je m’égare !
De plus, notre héros sait être persuasif : pour qu’elles aient droit à un énième coup de queue supplémentaire, il parvient à convaincre les deux femmes de lui offrir une petite séance de gouinerie pas piquée des vers… Résultat, au petit déjeuner du matin, les deux épouses n’auront pas d’explication valable à donner à leurs maris respectifs pour justifier d’avoir des cernes jusqu’aux oreilles en plus d’être totalement aphones. C’est d’ailleurs assez miraculeux que, pendant la nuit, personne ne les ait entendues hurler leur plaisir !
— Je ne pige pas bien : tu ne parles pas allemand et, de toute façon, elles ne sont sans doute pas au courant des opérations ...