Jeux entre frères (8)
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... Dans un tiroir, je dégottais des couverts qui semblaient être en argent et je disposais le tout sur la table en bois ; le beau soleil permettait de manger dehors et parfaire notre bronzage. J’avais terminé de mettre le couvert, deux assiettes de chaque côté de la table. La table ressemblait à une table de mariage, en déco, des fleurs et des branchages, de jolis verres à pied sortis une fois de plus d’un placard. J’étais assez content de moi quand je demandais si la table convenait aux deux déesses ; je me suis fait rabrouer purement et simplement :
— Je ne savais pas que nous avions des invités, explique-moi pourquoi tu as mis quatre couverts ?
— Bah…vous et nous…
— Où as-tu vu que les serviteurs mangent avec leur maître ? Il faudra réviser l’histoire antique mon cher ; tu mérites le fouet ! Vous mangerez, ici juste à côté de nous, à quatre pattes par terre, dans des écuelles !
Décidément, je ne faisais que des conneries et voilà ; encore du fouet ! Je n’avais plus qu’à rectifier la table, elles mangeraient donc seules et face à face ; quand à nous il me fallait trouver de quoi nous servir d’assiettes. J’organisais la table différemment pour que ces « Dames » soient contentes. Pour nous des ...
... écuelles en bois, trouvées dans un placard où se nichait tout un tas de trésors ; feraient bien l’affaire.
La cuisson des saucisses terminée, mon frère les apporta ; elles sentaient bon la charcuterie montagnarde. Ces Dames servies, elles nous donnèrent à chacun deux saucisses, et un morceau de cet énorme pain qui, bien enveloppé dans un linge se garde à merveille. Le « ici » de notre place fut définitivement adopté quand après maints déplacements. Elles trouvèrent l’endroit qui leur convenait le mieux soit à quatre pattes, le cul tourné vers elles et le soleil ; cuisses bien écartées de façon à ce qu’elles puissent nous mater « le trou du cul et nos baloches » selon leurs dires.
— C’est parfait ainsi, nous avons une belle vue, quand penses-tu Elsa, demanda Lyli à sa sœur.
— C’est parfait. Eh les gars ! Faites gaffe que les chiens ne vous prennent pas pour des chiennes ! s’exclama-Elsa en riant.
La position était assez inconfortable, surtout qu’elles nous avaient foutu les jetons avec leur histoire de chiens ; je n’avais aucune envie de me faire saillir par les clebs. Tout se passa bien, le soleil me chauffait le cul et l’idée d’être bronzé à cet endroit me plaisait beaucoup.
[À suivre]