Jeux entre frères (8)
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... faire du mal ? demandais-je
— Un petit peu et vous découvrirez ainsi le plaisir dans la douleur.
— Vous l’avez-déjà fait ? dit-Julien.
— Oui et vous allez voir comme c’est super ! Il faut que vous fassiez ce jeu de bonne grâce. Nous ne pratiquons pas la domination brutale et humiliante mais plutôt quelque chose de plus subtile. Une sorte de SM ou vous pourriez même suggérer de subir ou de faire des choses. Et je vois que ça à l’air de vous plaire, conclut-Lyli.
Facile à voir, mon frère et moi avions une érection naissante.
— Par exemple : nous allons trouver un prétexte pour vous fesser et ce sera à vous de nous dire d’arrêter ou de continuer, voire de faire plus fort, mais nous pouvons aussi trouver d’autres choses à vous faire.
— Si je comprends bien c’est à nous de fixer nos propres limites. Alors, pour moi c’est d’accord, mais à vous de trouver les punitions et promis on se laissera faire, avions-nous répondu.
— Bien nous allons nous habiller, car nous sommes des déesses ; et les déesses ne se mettent pas nues devant leurs esclaves sauf si nous en décidons autrement. Comme pour la toilette par exemple où ce sera à vous de nous laver.
Nos cousines entrèrent dans la maisonnette pour se changer et nous laissèrent seuls dehors.
— Dis-moi frangin, c’est super excitant ce truc ; putain, tu as vu la trique qu’on se tape ? me dit Julien.
— C’est clair, t’as envie de quoi, toi ?
— Ch’sais-pas, la fessée et peut-être le fouet ou un truc dans le ...
... genre ; et après je ne sais pas ce qu’elles veulent faire. Moi, de toute manière, je ferai tout ce qu’elles veulent du moment qu’on les baise après.
La porte s’ouvrit.
— Fais gaffe, les voilà !
Les deux superbes déesses apparurent, majestueusement, vêtues d’une robe longue fendue jusqu’à la fesse et d’une cape rouge pour l’une, et jaune pour l’autre. Jetées sur leurs épaules, ces tenues ressemblaient à ce genre de déguisements trouvé sur les sites spécialisés.
— Ma chère sœur, comment trouves-tu nos nouveaux esclaves ? dit Elsa sur un ton majestueux.
— Ils ne sont pas mal, mais il leur manque quelque chose comme un collier et des bracelets ; nous devons remédier à cela.
Aussitôt Lyli se leva et alla chercher un sac. Ce sac, du genre sac de course style carrefour, était joufflu ; si joufflu que je fus envahi par la curiosité, mais Lyli y plongea sa main et en ressortit un collier de chien, des bracelets en cuir qu’elle portait victorieusement à bout de bras.
— Venez mes petits, venez que je vous attache ; vous êtes à moi, à nous ; votre corps nous appartient et vous ne pouvez rien contre nous. Vous êtes à nous et rien, je dis bien rien ne pourras changer votre destin ! Ah ! Ah ! Ah !
Après cette tirade théâtrale, je me demandais si elles n’avaient pas fumé un truc ; mais c’était tout de même très amusant. Je pense que mon frère et moi étions aussi allumés qu’elles pour accepter un truc pareil ; mais bon… L’air était doux et chaud, midi devait approcher car ...