Jeux entre frères (8)
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... esclave ! Tu as perdu ta bistouquette ? Elle est toute rikiki ! Viens te sécher et nous allons te réchauffer.
Grelottant de froid, Lyli m’attrapa par le poignet et me dirigea vers l’appentis attenant à la maisonnette, il servait habituellement à stocker du matériel ; mais là, il était vide. J’y étais passé auparavant et je n’avais jamais remarqué que des chaines pendaient du plafond.
— Donne moi tes mains, me dit-Lyli.
En une fraction de seconde, je compris quel sort elle me réservait ; allait-elle recommencer ce que nous avions fait là haut ? Ou me réservait-elle une autre surprise ? Je ne tardais pas à le savoir quand elle prit mes menottes pour les fixer via un mousqueton aux chaines pendantes. Les menottes de mes chevilles furent reliées entres elles par un bâton dont chaque extrémité avait un anneau de bricolage vissé dans le chant du bâton. Prisonnier de mes liens, et toujours transit de froid ; j’étais exposé à la vue de tous et surtout au soleil qui me réchauffait doucement.
Mon frère, qui avait terminé sa tâche, rejoignit le groupe et put apprécier le spectacle. La gêne et un peu de honte avaient transformé mon vit grandissant en une virgule ridicule. Si je ne bandais plus, par contre la queue de mon frère pointait vers le ciel. J’éprouvais malgré tout un réel plaisir avec cet instant d’exhibition forcée. Offert à tous et sans défenses j’imaginais les pires supplices comme ceux que nous mations en secret sur les sites de cul. Quelles idées mes cousines ...
... pouvaient-elles bien avoir en tête ?
La réponse fut assez rapide, je reçus trois claques sur chaque fesse, ce excitait terriblement mon frère.
— Alors, Julien, la situation de ton frère semble t’exciter, on dirait ? dit Lyli.
— …Euh… !
Je compris son attitude, car ne sachant pas ce qu’il allait se passe, il préférait garder le silence ; j’en aurais fait autant.
— Amène-toi ici, ordonna-Lyli.
Il s’approcha humblement, la tête baissée comme s’il avait commis une faute. Il tendit ses poignets et se retrouva face à moi dans la même position, son comportement théâtrale plut beaucoup à mes cousines et en profitèrent pour lui faire gouter aussi le plaisir de la fessée. À tour de rôle, elles nous marquaient le derrière ; un coup sur une fesse, un coup sur l’autre. Quand elles estimèrent que notre fessier fut de la bonne couleur, elles stoppèrent et tout en admirant leur travail :
— Lyli, ne sont-ils pas magnifiques nos petits esclaves ? Nous allons nous amuser un peu, ils son trop mignons avec leur petit cul tout rouge ; mais ils ont un petit défaut.
— Ah, oui ! Et quoi ?
— Je trouve qu’ils seraient beaucoup plus jolis sans poils, tu ne trouve pas ?
— Tu as raison, mais j’ai faim ; mangeons et ensuite nous allons nous faire un petit dessert. Détachons-les pour qu’ils nous préparent le repas.
Libre de nos mouvements, Julien ravivait le feu et je dressais le couvert ; je réussi à trouver de jolie assiettes, anciennes, autres que celles de tous les jours. ...