1. Perte de Contrôle


    Datte: 09/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... vraiment, je suis dans un état différent, je ne sens plus les coups, je les vois mais rien ne remonte. Je sens juste une terrible excitation me prendre, une envie de jouir. Mon corps ne m'obéit plus je viens au-devant des coups comme s'il s'agissait d'un cul à défoncer, et je me mets à jouir comme un damné, provoquant un brutal retour à la réalité et à la souffrance toute entière de mon corps. Je suis hébété d'avoir pu jouir ainsi, et mon tourmenteur n'en est pas moins décontenancé. Il arrête.
    
    — Toi ma salope, je crois que nous allons bien profiter de toi avant de te jeter à la décharge.
    
    Je n'ai pas la force de répondre. Pris d'une excitation folle, il reprend la cravache et me cingle le devant du corps dans tous les sens, à toute vitesse, y compris mes bras et mes seins déjà très torturés. Quand enfin il arrête, je vois qu'il s'est masturbé et a lui-même jouis. J'en suis heureux. Même si je ne contrôle rien. Il me remplit la bouche d'un long bâillon en forme de plug qui descend jusqu'à ma gorge, et qu'il attache fermement autour de ma tête. Il essaie de serrer plus encore mon collier, mais c'est impossible. Il l'enlève pour créer un trou intermédiaire et me le remettre, je suis à la limite de la suffocation. Il sert un peu plus encore mes pinces dans mes tétons, ce n'est plus qu'une plaie, et la douleur est terriblement vive lorsqu'il fait se balancer les lourds poids.
    
    Enfin il détache la cordelette qui maintenait mon paquet à l'horizontal et y accroche un très ...
    ... lourd poids étirant tout mon appareil dans une douleur qui me remonte profondément dans le ventre, prenant le dessus sur le plug dans mon cul qui est pourtant terrible. C'en est trop je ne peux pas, je veux partir, il est fou et moi aussi. Je voulais juste jouer. Pourquoi tout cela? Je bouge la tête, mais il ne fait pas attention, je n'ai pas l'énergie d'autre chose, pourtant il faudrait. Mais déjà il part, éteint la lumière, ferme la porte. Je pleure doucement, je voudrais mourir là. J'ai mal partout et je ne peux rien faire. Cela ne doit pas faire une heure que je suis arrivé. Dans 23 heures je serai libéré. Je récupère mes papiers et tchao les vacances. Même si je suis très troublé par cette jouissance, surtout l'état qui l'a précédée, c'était assez inouï.
    
    Je suis dans une profonde somnolence lorsque je sens sa présence à mes côtés. La lumière est revenue.
    
    — Bien on va passer aux choses sérieuses maintenant. Cela va être jouissif de te détruire, tu ne sauras même plus comment tu t'appelles, tu seras juste la pute! Cela te plaît? Tu serviras de pute à tous les mecs en manque, surtout les plus vicelards et les plus violents. Qu'est-ce que tu en penses?
    
    Je ne peux pas répondre avec cette bite de latex qui me rend la respiration si difficile, il malaxe la bourse cloutée mais je n'ai même plus la force de réagir à la douleur. Mais pourtant je réagis à l'excitation, d'être touché, mais aussi les mots qu'il insinue en moi. Combien de fois me suis-je fait jouir avec ces ...
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