1. Perte de Contrôle


    Datte: 09/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... images. Il sent mon sexe durcir et se mutiler un peu plus, ce qui le fait rire et se moquer de moi.
    
    — Je n'ai jamais vu une chienne comme toi. Cela va être trop bon de te dresser.
    
    Il me détache les bras et je m'écroule au sol, soulageant temporairement l'étirement dû aux poids. Je dois me relever sous les coups de cravache qui pleuvent sur mon dos, il me fait coucher sur un cheval d'arçon, les bras et les jambes de chaque côté, exposant ainsi mes fesses en l'air.
    
    — Tu avais encore une surprise, je ne l'avais pas vu celui-là. Il est bien gros pour un petit cul comme toi. Il appuie sur mon plug me faisant gémir de plus belle, je suis très irrité par le contact.
    
    — Je crois que pour toi il va falloir sortir du gros matos, en même temps si tu es trop large, cela ne le fera pas trop. Va falloir que je réfléchisse.
    
    Sans précaution il me retire le plug qui a séché dans mon cul depuis qu'il est là. J'ai l'impression qu'il me retourne les intestins, mais le soulagement est quand même immédiat. J'entends tomber quelque chose, je crains le pire. Et c'est bien le pire.
    
    — Tu ne t'es pas bien nettoyé la pute. La règle c'est simple, tout ce qui sort, rerentre. Je te mets cela dans la gamelle, tu te délecteras tout à l'heure. Maintenant je dois m'occuper de tes fesses. C'est simple je veux que tu ne puisses plus t'asseoir pendant une semaine, tu vas voir c'est assez sportif.
    
    Cela fait longtemps que j'ai perdu le compte. Celui des instruments qu'il a utilisés. Je sais ...
    ... qu'il y a eu des paddles, des martinets, cravaches, bâtons et je ne sais quoi d'autre. Chacun m'a fait pleurer et hurler dans mon bâillon gode provoquant des hoquets et des peurs de m'étouffer. Perdu le compte des coups qui se sont abattus, pas seulement sur mes fesses, mais aussi mes cuisses offertes ainsi que mes mollets saillants. Parfois la main de mon Maître caresse mes chairs pour mieux apprécier le résultat, et je les sens toutes gondolées, durcies par les coups, sans plus de sensibilités. Cela fait longtemps aussi que je divague dans une ouate bizarre et agréable, j'ai perdu tout lien avec la réalité, je ne suis plus qu'un réceptacle à coups. Je ne me pose plus la question du pourquoi, c'est ainsi, j'accepte, même si je n'ai pas beaucoup d'autres choix.
    
    Je réalise que les coups ont cessé, je me sens anesthésié à partir du dos, une douce euphorie me baigne. Mon Maître me détache, et je m'écroule par terre. Sans hésiter je me jette à ses pieds, et mime de les embrasser, ce qui est impossible puisque ma bouche est distendue. Il me laisse faire, je suis pris de frénésie à me caresser contre ses chaussures. Sans plus y penser ni me retenir, je n'ai qu'une envie, c'est de jouir. Ma queue et mes couilles sont toujours enfermées, mais me mettant à genoux, je me masse le sexe au travers de la gaine, et avec folie je serre de plus en plus fort et de plus en plus vite. Mon sexe en bandant tire encore plus sur toutes les pointes maintenant bien ancrées dans mes chairs délicates et ...
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