Perte de Contrôle
Datte: 09/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... mais je crois que ce ne sera pas nécessaire. J'ai décidé que tu m'appartiendras, au moins jusqu'aux vacances de cet été. Et si tu pensais juste t'amuser, c'est trop tard la larve. Tu as envie de dérouiller, et c'est bien, nous sommes très imaginatifs.
— Merci Maître. Puis je poser une question Maître? J'étais un peu inquiet de la tournure des événements quand même.
— Non la larve, tu n'es rien d'autres qu'une salope à ma totale disposition. Les trois mois qui nous séparent des vacances vont être ton purgatoire avant l'enfer. Je t'assure que tu ne vas pas regretter.
— Merci Maître. J'étais pris entre deux sentiments contradictoires. C'est bien ce que je désirais, mais je perdais totalement le contrôle.
— Continue à te désaper.
J'enlevai mes skets ainsi que mon pantalon, dévoilant ainsi la gaine puisque je n'avais pas de sous vêtement. Il me fit approcher, et commença à caresser le cuir, m'arrachant des sursauts de douleur, mon paquet étant terriblement contraint et percé depuis longtemps. Cela le fit sourire.
— Regarde—moi dans les yeux. Si tu quittes mon regard, je t'éclate les couilles à coup de pied.
Terrorisé je le regarde profondément. Les caresses sur la gaine deviennent pressions de plus en plus fortes, les pointes pénètrent la peau et me percent une à une, je m'agite dans tous les sens, sans quitter les yeux de mon Maître que je vois plein de plaisir, tandis que je pleure de souffrance. Maître me sert de plus en plus, faisant rouler les chairs ...
... délicates pour me procurer le plus de souffrance possible. Je n'arrive plus à respirer, mon sexe, malgré la souffrance, durcit, et mon Maître s'en rend bien compte, il sourit.
Il se lève, me tirant par la laisse et mon collier trop serré, et me fait pénétrer dans son garage transformé en donjon. Je suis attaché à une croix, les membres très étirés. Je n'en peux déjà plus alors que je viens d'arriver. Il prend une corde et attache celle-ci à l'anneau de ma poche en cuir pour l'étirer bien à l'horizontal. Mon paquet est ainsi bien offert. Je frémis quand je vois mon Maître prendre une cravache, je crains le pire, et le pire arrive : il me frappe fort sur le paquet ainsi exposé, tandis que je hurle autant de souffrance que de peur.
Il recommence, encore et encore, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, de contrôler la souffrance qui est atroce, les couilles écrasées par les coups, le sexe transpercé de partout. Comme si c'était insuffisant, il s'interrompt pour attacher des poids de 500 g sur chacune des pinces de mes seins, arrachant de nouveaux hurlements de ma part, je le supplie, lui dis que je ferai tout ce qu'il veut. Il sourit sachant qu'il me fera faire bien plus. Je me sens totalement à sa merci, détruit, les coups reprennent encore plus fort je crois. Il alterne, me fouette aussi le pubis, le ventre, les cuisses. Il se défoule profondément sur la chose offerte, je lui ai offert moi-même le supplice qu'il m'inflige. Je crois m'évanouir, mais non pas ...