Dans l’antre du vice
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
ascenseur,
toilettes,
humilié(e),
Masturbation
Partouze / Groupe
fdanus,
confession,
dominatio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... au milieu du magasin. Je reprends ma marche parmi les rayons, croise des personnes ; sans vraiment interpréter ma conduite, je marche vers des endroits qui regorgent de clients. On me frôle, me touche… et de me savoir découverte, même si peu, m’émoustille.
Bien vite, j’ai envie d’aller plus loin. De mes deux mains dans mes poches, je tire un peu plus vers le bas le fin vêtement. Le frottement de l’élastique sur ma peau hypersensible me soutire un gémissement que j’ai peine à masquer. Le bord de la culotte s’arrête au milieu de la rondeur de mes fesses. Sur le devant, je sens que mon ventre se découvre juste à la naissance du fin duvet de mon pubis qui coiffe la bosse de mon mont de Vénus. Cette pensée me procure encore aujourd’hui des frissons. La culotte est bloquée dans sa descente et cela me rassure un moment.
La sensation est extraordinaire. Je mouille déjà et une forte odeur de sexe embaume l’espace.
Je continue à marcher et tout naturellement, le tissu glisse et bâille, coincé entre mes cuisses, ce qui libère les lèvres de ma chatte. Alors, dans un excès d’excitation, je tire vers le bas la culotte qui franchit maintenant entièrement mes fesses pour se bloquer sur le haut des cuisses tandis que les poils de mon pubis retiennent l’élastique du sous-vêtement, juste à l’orée de mon sexe.
Et tous ces gens, autour, qui ne savent pas que je suis cul nu, si proche, si accessible, et même disponible.
Maintenant, la culotte peut glisser simplement sans que je ...
... puisse arrêter son mouvement. Le danger accroît mon délire. Je retire mes mains de mes poches et poursuis ma marche parmi les rayons. La culotte libérée descend petit à petit, toute seule, à peine freinée, le long de mes cuisses nues. Je ne fais rien pour la retenir. Au contraire, je ralentis légèrement mon pas pour effectuer comme un léger pas de danse, ondulant des fesses, afin de l’aider à glisser vers le bas.
Devant, le pubis cède. Ma respiration s’accélère, une bouffée de chaleur me submerge. Plus rien ne va empêcher maintenant la culotte de se retrouver en bas de mes jambes.
La volonté de m’exhiber est évidente. Je m’abandonne et ferme les yeux, appuyée contre un bac rempli de soutiens-gorge. Je me laisse aller à goûter cette sensation lubrique et perverse de mon corps nu simplement caché par le fin tissu de ma robe.
Je sens le rouge envahir mes joues quand, rouvrant les yeux, je croise devant moi le regard d’un homme. Regard qui ne laisse aucun doute qu’il a deviné ce qui se passait. Je panique un instant, veux remonter ma culotte, mais réalise qu’elle est trop basse sur mes jambes. Affolée, je cherche un refuge et me dirige vers un endroit moins fréquenté. Je sens que la culotte est à mi-cuisses et doit être à quelques millimètres du liseré de ma robe… ou plus bas, et visible. Je suis morte de peur mais toujours excitée par la situation.
Derrière moi, j’entends le pas de l’homme qui me suit. Je suis perdue. Je m’arrête devant un étalage de chaussures. L’homme, ...