1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1557)


    Datte: 07/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mérites bien un peu de champagne, après tout ce que l’on te fait subir, la pute !
    
    Monsieur Etienne renouvelait l’opération à trois reprises, jusqu’à ce que son sexe soit dur, alors il me l’enfilait profondément en bouche, allant toucher ma glotte, allant jusqu’à me donner des nausées et des envies irrépressibles de gerber.
    
    - Ce n’est pas de ce champagne qu’il lui faut !, lui dis Laurence en délogeant Monsieur Etienne de ma bouche.
    
    La Domina m’ordonnait de me mettre à quatre pattes, alors qu’elle soulevait sa jupe étroite, laissant paraitre sa chatte parfaitement épilée.
    
    - Mets-toi entre mes jambes, salope, tête relevée !
    
    Son premier jet d’urine éclaboussait mon visage, elle réajustait sa posture et visait ma bouche. Par rapides saccades, elle inondait mon orifice buccal de son urine, ne me laissant guère le temps d’ingurgiter ce liquide chaud au gout amer et constant en bouche. Au même moment, mon plug était retiré, des mains m’écartaient les fesses pour maintenir mon anus grand ouvert. Un homme, pissait sur ma raie, visant mon trou… Trempé, je subissais l’avanie, l’outrage ! Une autre chatte devant les yeux, celle-ci poilue, m’inondait encore, tandis que maintenant une queue dans mon cul me ramonait méthodiquement…. Jamais je n’avais imaginé une telle débauche !... Monsieur le Marquis s’était assis sur une chaise, face à moi et m’observait. Il avait baissé Son pantalon et caleçon à mi-cuisses. Il me regardait me dépraver en se masturbant lentement. Une de Ses ...
    ... mains allait et venait sur Son membre puissant aux veines saillantes, alors qu’avec l’autre, il caressait Ses nobles testicules. De temps à autre, Son gland violacé faisait quelques soubresauts alors je l’entendais gémir. Madame Alice me chevauchait, son sexe gluant se frottait contre mon dos. Elle se masturbait ainsi en polissant sa vulve et son clitoris contre mon échine. Elle râlait bruyamment laissant échapper un flot de cyprine odorante. J’haletais, geignais, gémissais… hurlais même lorsque Monsieur Montambert m’emmanchait sans ménager sa fougue. Sa lourde et volumineuse bite se calait au fond de mes reins, ses couilles contre les miennes, je cherchais à me débattre pour échapper à ce chibre monstrueux. Mais c’était sans compter sur les autres Dominantes et Dominants qui me maintenaient, me giflaient et m’humiliaient sans cesse...
    
    - Offre-toi la chienne, donne-toi salope !, entendais-je de part et d’autre
    
    Sodomisé ainsi avec mes couilles harnachées, tétons pincés, bouche toujours tenue et imposée grande-ouverte, je cédais, renonçais, abdiquais, abandonnais. J’étais vaincu, assailli de toute part, souillé par ces fluides intimes, foudroyé par ces va-et-vient démoniaques et incessants. Je sombrais dans les méandres de la débauche, de l’immoralité et du vice et capitulais définitivement. Le seul moment de lucidité fut cet instant, lorsque Monsieur le Marquis éjaculait abondamment, par saccades successives sur ma chevelure et mon front et essuyait Son membre tumescent ...