1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1557)


    Datte: 07/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... terrible époque effroyable des négriers. Yeux fermés, je me laissais faire avec cette impression de n’être qu’un animal asservi, placé sur un marché à bestiaux pour y être vendu. Son doigt allait plus profondément dans ma bouche jusqu’à me donner un haut le cœur et me faisant baver, alors que de son autre main, il tirait vers le bas mon menton, m’imposant ainsi une ouverture complète de ma cavité buccale !
    
    - Tu vas t’en voir lorsque je vais fourrer ta petite gueule de lope, bien profondément !, me lançait-il
    
    Je ne répondais rien, il se servait. Puis je passais vers cet homme un peu en retrait, carré d’épaules, assez grand, plus âgé encore. Lui, baissait carrément et sans préambule, mon jockstrap à mi-cuisses, dévoilant ainsi ma nouille semi-molle au regard de toutes et tous, puis m’empoignait les couilles en passant sa main par derrière… Il palpait et comprimait mes testicules chacun leur tour. Je sentais mes joues s’empourprer, la honte m’envahir à m’exhiber ainsi devant une assemblée…
    
    - Couilles normales, mais son sac à burnes doit être étiré et beaucoup plus souple, j’aime voir les salopes de son espèce avec les couilles bien pendantes…
    
    L’homme se servait, j’avançais alors vers Martial Montambert. Lui, prenait le dernier verre, sans me toucher. En revanche, il exigeait que je m’installe tête basse, à genoux, cuisses écartées, fessier posé sur mes talons au milieu d’eux. Tous les sept trinquèrent à ma venue dans l’Entreprise, puis discutèrent de choses et ...
    ... d’autres, sans plus se préoccuper de moi, jusqu’à cet instant où cette femme, celle qui avait griffé mes épaules revint à la charge. Ces doigts empoignaient ma chevelure pour me tirer la tête en arrière, d’un coup vif et douloureux. Je voyais son regard me rabaisser un peu plus encore.
    
    - Te sens-tu minable, petite pute… Te rends-tu compte que tu n’es rien d’autre qu’une petite salope à utiliser !, dit-elle en me crachant au visage, son crachat dégoulinant doucement sur ma joue- Tu as parfaitement cerné cette chose qui est à nos pieds, ma Chère Alice ! Rien d’autre qu’un esclave à utiliser en effet, à formater même, à notre convenance, lui répondait cet homme qui avait baissé mon jockstrap.
    
    - Je savais que j’aurai ton approbation mon cher Gilbert, lui répondait-elle en riant à gorge déployée.
    
    Pourquoi dès lors que je vivais l’opprobre, ma queue systématiquement se mettait au garde à vous ? Pourquoi mon excitation montait en flèche ? Pourquoi s’échappait instantanément de ma nouille ce fluide visqueux et incolore ? Plus j’étais rabaissé, humilié, infériorisé, et plus mon corps et mon cerveau s’embrasaient. La réponse me devenait si évidente, j’étais né pour servir, pour être esclave, pour vivre ma véritable Nature servile… Et mon excitation mentale et physique ne faisait qu’exprimer cette réalité…
    
    - Tiens Gilbert, j’ai apporté le nécessaire pour lui faire les couilles !
    
    - Merci Séverine…
    
    Séverine n’était autre que cette femme qui avait plongé sa main dans mon ...
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