La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1557)
Datte: 07/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... jockstrap. Elle me semblait particulière vicieuse, très attirée par mes attributs masculins. Elle tendait un objet métallique, sorti de son sac à main, à Monsieur Gilbert.
- Lève-toi, Mon chien, mains sur la tête, cuisses écartées !, m’ordonnait le Maître.
Monsieur le Marquis semblait très calme et appréciait sans nul doute de me voir ainsi asservi et malmené. Il me regardait attentivement, semblait laisser faire, tout en surveillant mes réactions. Séverine me délestait de mon sous-vêtement, puis s’emparait de mes couilles en les tirant vers le sol tout en disant :
- Vous avez vu comme cette chienne bande, c’est vraiment une grosse salope !
Je ne connaissais pas ce dispositif en métal, épais de trois centimètres environ et lourd que Monsieur Gilbert me posait sur le scrotum… Il étranglait et tendait ainsi mes couilles en les maintenant au fond de mon sac. Je sursautais lorsqu’un repli de peau se coinçait dans la charnière verrouillant l’objet.
- Tire mieux encore sur ses couilles Séverine, je ne veux pas blesser ce chien inutilement, avec ce ballstrecher !
- Que pensez-vous de ces pinces japonaises pour orner les tétons de cette pute ?
- Belle idée Laurence !, s’écriait Martial Montambert à cette femme qui m’avait pincé les mamelons alors que je lui tendais le plateau.
La douleur était fulgurante mais très vite, je trouvais le juste équilibre entre plaisir et souffrance, jusqu’à cet instant ou ladite Laurence ajoutait un petit poids sur cette chainette ...
... reliant les deux pinces.
- Ce petit poids pour te décourager à trop bouger la pute !, me lançait-elle.
Pourtant, il me fallait bouger. L’homme trapu, prénommé Etienne, appuyait sur mes épaules pour me faire pencher en avant
- Ouvre ton cul, salope…
Mon cul était déjà bien ouvert, après le traitement subi ce matin même. Sans la moindre difficulté ce plug, assez large à la base, me pénétrait et s’installait dans mon antre sans plus bouger dans mon fondement. Je me sentais veule, totalement démuni, totalement objet. Ces pervers Dominants me cassaient, me brisaient, m’accablaient, m’éreintaient, alors que ma nouille restait imperturbablement raide, figée dans une érection incontrôlable, presque douloureuse, tant elle était puissante. Je mouillais terriblement. Je pensais en avoir fini avec tous ces accessoires… C’était mal connaitre les intentions de ces sadiques obsédés. En effet, sur ordre de Monsieur le Marquis, j’avais repris ma posture initiale. A genoux au sol, et avant même que je sois parfaitement installé, Monsieur Etienne me posait un écarteur de bouche, m’obligeant à tenir celle-ci grande ouverte. Une fois cet accessoire mis en place, devant moi, il dégrafait son pantalon, ouvrait sa braguette, sortait son sexe encore flasque en faisant glisser son slip sous ses couilles. Il approchait sa coupe de champagne près de son membre, trempait celui-ci dans le verre à moitié rempli pour l’imbiber de ce fin breuvage, puis m’introduisait sa queue en bouche !
- Tu ...