Ma belle au resto
Datte: 05/11/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Omarrrr, Source: Hds
... mon pauvre vieux, je ne me gênerai pas, je te le garantis !
Le repas rapidement englouti, Jacques s’installa derrière le volant.
— Affole-toi, on ne va pas dormir là !
Alice ne répond pas.
Le reste du voyage se déroule dans le silence le plus complet. Alice n’a pas envie de discuter.
A la sortie de l’autoroute, il ne reste plus qu’une dizaine de kilomètres sur une route de campagne.
A la sortie d’un bourg, Alice voit une enseigne sur le côté droit annonçant un relais routier. Empruntant régulièrement ce tronçon pour aller faire ses courses, elle n’y a pourtant jamais porté trop d’attention.
Mais ce soir, c’est différent. Sa pensée est monopolisée par les monstres d’acier, les regards virils et le désir qu’elle a suscité parmi les chauffeurs. Et puis, il y a cette volonté de se venger qui la tenaille.
La Renault passe devant le relais. Trois poids lourds sont garés sur le parking. L’établissement est isolé et semble peu fréquenté. Tant mieux se dit Alice.
Une fois arrivée à leur maison, Alice est occupée par les enfants, qu’il faut coucher, et le rangement des bagages.
Jacques se contente de se doucher et de déguster une bière devant la télé.
Alice ne bronche pas.
Une fois couchée, des rêves l’envahissent aussitôt. Elle se voit entourée d’hommes. Ils sont d’âges variés. Ils sont vêtus de combinaisons, de jeans, de tee-shirts et de chemise à carreaux. Leur visage est sévère et viril, marqué par la fatigue. Des mains larges s’avancent vers ...
... elle pour la caresser, lui palper les seins, le ventre, les fesses. D’autres s’introduisent entres ses cuisses pour les masser. Des gémissements et des sifflements de respiration raisonnent de plus en plus fort. Elle entend également des voix et des commentaires inaudibles. Alice se réveille en nage, brusquement, le cœur battant.
Sa main droite est plaquée sur son sexe et sa chemise de nuit, retroussée jusqu’à la taille.
— Mon Dieu, ce n’est pas possible ! Je deviens complètement cinglée !
Pendant son rêve, un de ses doigts a pénétré dans sa vulve. Mortifiée, elle n’ose plus bouger. Elle se décide enfin à le retirer et se rend immédiatement compte que ce dernier est trempé de son liquide intime.
Elle l’essuie avec un mouchoir qu’elle garde toujours sur sa table de chevet et tente de se rendormir.
Le lendemain matin, elle s’affaire à préparer le petit-déjeuner. Jacques est tout juste aimable.
— Vas retrouver ta traînée, je m’en fous ! Maugréa-t-elle en elle-même.
Les enfants et son mari partis, Jacques les dépose le matin à l’école, son esprit est occupé par tout le rangement à effectuer.
Elle déjeune rapidement le midi, les enfants et son mari ne rentrant pas.
Vers dix-huit heures, le téléphone sonne.
C’est la mère d’Alice qui lui propose de garder les enfants pour la nuit afin d’en profiter. Elle passera les prendre à l’école.
Alice accepte.
Une demi-heure plus tard, alors qu’elle commence à préparer le dîner, Jacques l’appelle pour lui ...