1. Clémence, l’essor d’un amour


    Datte: 03/11/2024, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, fdanus, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... troublé par les sanglots de ravissement de Ève que les légers baisers de son initiatrice ramenaient sur terre.
    
    — Je l’ai dépucelée comme j’aurais aimé l’avoir été, reconnut honnêtement Clémence. Nous avons refait l’amour plusieurs fois avant son départ pour la Fac. C’étaient des récréations tendres et affectueuses entre nos entraînements à la soumission et à la domination. Elles m’ont permis de lui prouver mon attachement d’une autre façon, comme elles lui ont donné les moyens de mieux se connaître et d’en tirer ensuite avantage avec ses jeunes amants. Mais elle a été assez maligne pour leur laisser croire qu’elle leur devait son bonheur !
    
    Le retour des parents de Ève suspendit temporairement cette idylle multiforme. Il ne fallut toutefois que quelques semaines à l’étudiante en Droit pour leur démontrer que ses études seraient notablement plus fructueuses si la présence d’une gouvernante la déchargeait des questions bassement matérielles, et qu’une personne de confiance apporterait une tranquillité supplémentaire compte tenu de l’éloignement. Clémence était évidemment toute désignée.
    
    Le mois suivant, Ève aménageait dans un coquet petit appartement de la vieille ville auquel se rattachait une chambre de bonne, rustique mais suffisante pour affirmer le rang social et sauver les apparences. Elles y passèrent les six ans précédant le mariage de Ève, après quoi Clémence y résida officiellement jusqu’au veuvage de sa maîtresse.
    
    Dès la première année d’étude, Ève ...
    ... s’employa à constituer un réseau d’amitiés féminines et masculines, ces dernières en nombre toutefois plus restreint et moins pérenne. Pour les garçons, elle les laissait la draguer, les recevait en compagnie de Clémence, jouant pour l’occasion le rôle de chaperon, et, après échange d’avis avec celle-ci, décidait de poursuivre en amourette ou en relation amicale, voire de rejeter purement et simplement le soupirant.
    
    Concernant les amies, elle avait mis au point un scénario plus élaboré. Elle conviait une ou deux copines, pas plus, à un dîner que Clémence servait en tenue de soubrette. L’apparat un peu collet monté du service impressionnait les invitées jusqu’au moment où elles étaient amenées à découvrir que la servante ne portait pas de culotte. Si elles s’en offusquaient, Ève grondait vertement Clémence en promettant de la renvoyer séance tenante, ce que les pudibondes ne pouvaient vérifier car elles n’étaient jamais priées de revenir…
    
    Si au contraire elles s’amusaient du spectacle ou brocardaient l’impudique, Ève poussait plus loin le jeu. Elle confessait en riant avoir une bonne exhibitionniste, proposait que la coupable montre la totalité de son cul et, tant qu’à faire, sa partie face après sa partie pile, suggérait qu’on ne pouvait se faire une opinion sans vue d’ensemble, et autres coquines plaisanteries qui provoquaient régulièrement la mise à nu de Clémence ainsi qu’en général son tripotage par des mains curieuses.
    
    Celles qui le souhaitaient participaient ensuite à ...
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