Clémence, l’essor d’un amour
Datte: 03/11/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... en venait, mais n’autorisait rien en échange. En dehors de ces amusements, les séances de fouet et autres sévices continuaient comme à l’accoutumée. La frustration du bonheur de retourner les plaisirs reçus avait simplement été ajoutée aux exercices de soumission.
Ève interdisait toujours à Clémence de se caresser en son absence. Le manque s’additionnait au manque, situation d’autant plus désespérante que l’orgasme ne lui était plus que rarement permis dans les masturbations qui suivaient les punitions. Pourtant, malgré ce surcroît de brimades, Clémence n’arrivait pas à se venger plus cruellement sur Ève lorsque celle-ci le lui ordonnait. Elle savait qu’elle la décevait, mais ne pouvait se résoudre à lui faire vraiment mal. Elle préférait se résigner à pratiquer l’onanisme en cachette. Elle fut surprise une nuit en pleine désobéissance.
Le matin suivant, Ève entra dans la chambre en talons haut et bas noirs, sans rien d’autre que sa cravache à la main. Toute en douceur, elle pria Clémence de s’allonger en écartant les cuisses, de retrousser avec ses ongles le capuchon de son clitoris, et de lui présenter son bouton aussi nu que possible. Clémence tremblait mais s’exécuta. Il n’y eut qu’un seul coup.
Clémence jappa et inonda le lit.
— Ève a eu peur ! En outre, elle a été obligée de changer seule les draps, rit-elle. J’étais bien incapable de l’aider : mon clito m’a lancé pendant deux jours, mais sans conséquence grave. Cela nous a servi d’expérience. Une étape de ...
... plus dans notre apprentissage, en somme…
Il leur fallu tout de même alléger les exercices le temps que les meurtrissures se résorbent. Remord, générosité, ou désir, Ève mit à profit cette période pour autoriser enfin Clémence à goûter sa chatte. Les démonstrations avaient été nombreuses, la soif d’apprendre de l’élève ancienne et insatiable, sa conversion saphique fut complète et son instruction rapide. Elle maîtrisa bientôt l’art du léchage aussi bien que son enseignante. La fin des vacances se partagea agréablement entre caresses brutales et caresses buccales.
Peu avant que ses parents ne rentrent de voyage, Ève gratifia Clémence d’un autre cadeau, sans doute le plus merveilleux qu’elle pouvait lui faire. La rentrée universitaire se profilait, où Ève allait intégrer une Faculté de Droit réputée. Elle comptait bien explorer toutes les facettes de la vie étudiante mais ne voulait pas l’aborder en pucelle ignare. C’est à Clémence qu’elle demanda de la déflorer.
L’achat de gel et de préservatifs échut bien sûr sans difficulté à cette dernière. Disposer d’un substitut phallique posa par contre un problème. Clémence ne possédait pas de godemiché, ce genre de jouet n’était pas si courant à l’époque. La mère de Ève s’était certes procuré un appareil oblong vibrant, recommandé pour le massage du visage sur un célèbre catalogue de vente par correspondance, mais elle l’avait apparemment emporté pour se détendre pendant son périple. L’écoute impromptue de La folle complainte ...