Clémence, l’essor d’un amour
Datte: 03/11/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... fin de la séance traditionnelle de flagellation, seins et sexe en plus des fesses cette fois-là, elle lui proposa une démonstration des capacités qu’elle avait pu développer pendant ses années de pensionnat. Clémence ne refusa pas, elle était tourmentée par ce fantasme depuis le premier examen de son sexe, sans oser l’avouer.
Le gazon ombragé servit de couche pour la première minette. La chatte fouettée était enflée et légèrement tuméfiée, des traces rouges à l’intérieur des cuisses signalaient les impacts qui avaient manqué leur but principal. Ève commença par effleurer ces marques de sa bouche, adoucissant leur sensibilité par de petits baisers mouillés. Elle mêlait sa salive à la sueur de la peau pour l’étaler de la langue en cercles concentriques sur le pubis. Ces simples caresses faisaient naître des frissons de l’anus au nombril de Clémence et avivaient son impatience.
Ève aussi était impatiente. Impatiente – elle l’admit plus tard dans un moment de tendresse – de boire à la source la cyprine de son aînée, qu’elle n’avait goûtée que fugitivement sur ses doigts. Pourtant, elle se retint de dévorer goulûment le con offert comme l’eut fait un étalon se piquant de délicatesses préliminaires. Elle lécha précautionneusement les lèvres gonflées, les enveloppant d’une alternance de douceur tiède et de souffle frais. Puis, rassurées et calmées, elle les goba l’une après l’autre, les relâchant dès que l’afflux de sang les enfiévrait.
Les soupirs de Clémence variaient ...
... au rythme des succions et des frémissements envahissant merveilleusement son ventre. Sans y toucher autrement que du bout de la langue, Ève lissa les nymphes, les flatta, les aplatit, les ouvrit enfin pour plonger une pointe souple dans le miel que ses agacements avaient accumulé. Sa langue s’y noya, s’en enroba et le quitta pour remonter lentement la fente, glissant dans le velours muqueux, titillant l’urètre au passage, jusqu’à frôler la base du bourgeon sous son voile, et se retirer au moment ultime.
Les plaintes de plaisir qui accompagnaient l’ascension s’interrompirent, bloquées entre espoir et frustration. Ève reprit ses léchouillis et le bonheur revint sous le mont de Vénus. La langue frétillait maintenant sur les lèvres, agitant sans relâche les festons de leurs plis. L’excitation s’accrut quand les doigts se joignirent à la fête, massant le périnée, pressant la commissure poisseuse, la fermant par malice, l’entrouvrant aussitôt pour libérer une coulée de mouille.
Les gémissements de Clémence montèrent d’un ton quand la bouche se posa sur son clitoris. Ève se contenta d’abord de passer du baiser au léchage et du léchage au baiser. Ses doigts continuaient de jouer sur l’entaille, d’affoler l’orée du vagin sans le pénétrer et d’étaler sur les bords le surplus de cyprine. Elle enserra le bouton de ses lèvres et Clémence cria. Elle l’aspira et Clémence se tu. Elle le téta et Clémence râla. Elle le mordilla et Clémence jouit encore.
Elle jouit à longs traits, ...