1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le bâtard de d’Artagnan (1/1)


    Datte: 02/11/2024, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... année.
    
    Condom, je me souviens, là encore, plusieurs femmes de Tisserand de lin, la principale une salope, qui voulait que je la baise en levrette, position que j’affectionne particulièrement.
    
    Bourrer le cul de ses femmes, minaudant dans leur boudoir entre elles, j'affectionne particulièrement lorsqu’elles se font sauter comme des charretières.
    
    Des charretières, j’en ai baisé, j’ai même failli prendre un coup de dague par un maquereau dont je sautais ses putes, bien sûr, sans les payer.
    
    Mieux, Germaine, une de ses putes, m'a donné toutes ses passes au moment où j’ai fui cette ville.
    
    Papa et moi nous sommes faits pour changer de lieu à grande vitesse, Tornade, mon cheval m’a souvent bien aidé dans ces moments-là.
    
    Auch, je deviens porte rapière du sieur Lafont devant devenir un nom connu de la ville.
    
    Lafont avait une fille, je m’étais juré d’être sage, j’avais un bon job comme là encore il se dit dans des temps plus modernes.
    
    Mais Cunégonde avait un cul que j’avais plaisir à mordre chaque fois qu’elle le tendait vers ma queue.
    
    J’ai une nouvelle fois fui, atterrissant à Saint-Gaudens et Tarbes.
    
    Combien de femmes ai-je pu baiser, je l’ignore et si ma rapière a percé des corps, certains en duel, mais toujours gagnant, ma bite a pourfendu des vulves chaque fois que je le pouvais.
    
    Pourtant, je suis un homme d’armes de pacotille comparé à papa, lorsque j’étais jeune à la ferme, avec le fils du fermier.
    
    Fermier dont j’ai baisé la mère et la ...
    ... fille, nous faisions la guerre, dans la cour avec des épées en bois, la poignée tenue avec des cordes de lin.
    
    Sans le savoir, celui qui m’a fait fuir me trouvant dans le lit de sa femme, m’a sauvé la vie grâce à son fils.
    
    Et un jour, j’arrive au château de Castelmore, sans savoir qu’il existait et que c’est là que papa l’avait quitté précipitamment et rencontré maman.
    
    Sans le savoir je revenais aux sources, c’est bien plus tard en lisant les exploits des quatre mousquetaires racontés par Dumas que du ciel, j’ai su quel homme était mon papa.
    
    Au château de Castelmore, c’est un baron qui y vivait, il était le fils de celui dont mon père avait baisé la femme, comme j’ai baisé la sienne en digne fils de ce papa.
    
    Père mort en 1673 dans une ville très connue là encore par les Européens, mais qui a été rejeté par bien des pays lors de ce qui va s’appeler des référendums.
    
    Maastricht ville des Pays-bas pendant ce qui devait s’appeler la guerre de Hollande déclenchée par Louis le XIVe.
    
    Je baisais la femme de ce jeune baron dont je m’étais mis à son service et qui avait une tête de cocu.
    
    Le cocu, ce fut moi lorsque plusieurs rapières me réveillèrent pointées vers mon ventre nu et ma verge couverte de mon sperme et des liqueurs de cette jolie femme.
    
    Par chance, je venais de décharger laissant peut-être derrière moi à titre d’adieu, un petit bâtard comme moi à ce cocu de baron.
    
    Ces connards m’ont traduit devant un juge aussi pourri qu’il était possible d’être ...