Les malheurs de Clotilde Ch. 10 - Histoires de Sexe

Les malheurs de Clotilde Ch. 10

... l'endroit qui voit rarement le jour et ne subit pas le frottement de l'étoffe, l'endroit le plus tendre, le plus charnu et le plus chaud. Nina comprend en tout cas maintenant ce que veulent ses assaillants, la violer.

Emma :

Jeff, le père d'Emma relève les bras de sa fille. Il lui retire alors son tee-shirt. Son enfant se retrouve nue. Il peut voir ses beaux seins, bien ronds et ferme. Elle doit faire du bonnet D, bien moins que sa mère, mais de très gros seins quand même. Tant mieux, il fait partie de ses hommes qui aiment ça. Il s'amuse avec, les sucent, les lèchent. Puis il se met à caresser le clito de sa fille. Quand elle mouille, il enfonce son doigt dans le vagin de son enfant, s'arrêtant encore contre l'hymen. Emma gémit de plaisir. Alors, tout en continuant à jouer avec son clito, il fait coulisser le bout de son doigt. Jusque à ce que Emma lâche plusieurs petit cris orgasmique. Avant d'atteindre l'orgasme. Jeff est déçu qu'elle ne se réveille pas. Tant pis, ce sera pour la pénétration, ça peut-être marrant aussi. Par souci de sécurité, il lui menotte les poignets, lui laissant les bras posés sur son ventre. Il lui écarte les cuisses, et se glisse sur elle. Emma grogne mais ne se réveille pas. Il met son gland contre l'entrée encore vierge du sexe de sa fille. Il savoure ce moment. Lui qui a toujours rêvé de ...

... violée une femme, il y est enfin. Le fait que ce soit sa propre fille est un plus. Il va en faire une femme, mais surtout il va la dépucelée, comme il a dépucelée sa mère, un soir de janvier, dix-huit ans plus tôt.

Ninon :

Ninon se rend compte qu'elle est bâillonnée que quand un gros doigt visite sa chatte, comme si ce territoire lui appartient. La jeune femme veut crier, supplier, mais impossible, la bâillon dont elle ne s'est pas rendu compte de la présence jusque alors, l'en empêche. La jeune femme sursaute lorsque le doigt ayant entrouvert les pétales qui réserve son con, pénètre en une avancée brutale, jusque au fond de sa gaine, veloutée et humide. Elle gémit de nouveau quand un second doigt rejoint le premier, et qu'ensemble ils entreprennent de touiller, ensemble et sans précaution, dans son vagin délicat. Plus de deux ans que personne ne l'a touchée, et encore avec son grand amour, il ne faisait l'amour que cinq ou six fois par mois. Donc pour ne pas avoir subi les entreprises du mâle, la fragile grotte d'amour de Ninon, n'apprécie guère d'être bien moins traitée qu'une truie par un maquignon. Les indiscrets finissent par se retirer, après qu'elle est hurlée dans son bâillon, après l'avoir violemment irritée. Toutefois on ne remonte pas son short. Laissant son vagin nu, trempée de mouille à la vue de tous...