Les malheurs de Clotilde Ch. 10
Datte: 31/10/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... plaisir. Un frère vous transforme en animal, un père en rien. Je ne sais pas si toutes les femmes victimes d'inceste ressentent cela, mais moi, je le vie comme ça. Je n'ai ni haine, ni colère, je ne ressens plus rien, plus aucune émotion tandis que le monstre que j'ai tant aimé me viole. Il était mon prince, il était un exemple, je l'ai tant aimé, de la meilleure façon dont une fille doit aimer son père. Pour finir par se faire violer par lui. Par se faire aimer de la pire des façons dont un père doit aimer sa fille. En la forçant sexuellement, en l'enculant, en la détruisant de son pieu...
En plus ce monstre est gros, très gros, trop gros, son pénis me déchire l'anus, pire que tous les sexes qui m'ont forcé jusque à présent. Il est plus long, plus épais, plus gros que Greg même. Un engin d'acteur X, enfin je suppose, je n'en ai jamais vu. Tout en m'enculant mon père parle à mon frère. Qui lui répond tout en me violant la bouche.
- Tu lui a pris la chatte ?
- Putain, oui. La pute est vraiment serrée par-là, moins que par son cul, mais néanmoins c'est un délice.
- Meilleur que le cul ?
- Oui, franchement, oui.
Il parle de moi, de ce qu'il ressent à me violer comme si je n'étais pas là. J'ai envie de hurler, de leur dire que je suis là, que j'existe, que je suis un être humain, un être vivant, avec une pensée, des sensations, des sentiments. Que je suis leur fille, leur sœur, pas une vulgaire poupée gonflable, que l'on utilise, dans laquelle on se vide avant ...
... de la ranger dans un coin. Après je vais continuer à vivre. Avec ça, avec ce traumatisme. Alors que eux, ne penseront qu'au bon moment qu'ils viennent de passer avec moi. À la bonne baise qu'ils viennent de vivre...
Mon père accélère ses coups de reins, tout comme Pierre. Ils jouissent en moi, en criant de plaisir. Puis ils échangent leurs place. Pierre vient dans mes reins, alors que mon père enfonce son truc au goût de sperme et de caca dans ma gorge.
- Papa, tu peux pisser si tu as envie. Elle boit cela comme un délicieux nectar.
Un délicieux nectar, tu parles, c'est un supplice pour moi de boire ça. Mais je le fais car je n'ai pas le choix, et que c'est moins dur que les coups ou pire, la cravache.
Mais déjà, je sens l'urine de mon père envahir ma bouche, alors j'avale et j'avale le liquide salé. Pour que une fois fini, il reprenne le cours de son viol buccal.
Une fois de plus, ils sont synchrone pour jouir en moi. Lançant la purée simultanément. Tandis que Pierre remplace mon père dans ma bouche et ma gorge, il arrête mon père avant qu'il me pénètre.
- Il y a des pilules sexe-dure sur la table de chevet. J'en ai pris, on pourra la baiser toute la journée comme ça.
Dans ma tête, je me dis pitié, pas ça. Je ne vais pas supporter de me faire prendre toute la journée par mon père et mon frère. J'en suis tellement traumatisée, que pour le coup, je regrette les viols de Meyer, Jérôme et Greg.
Mais c'est trop tard, mon père avale une pilule, je ne le vois ...