Les malheurs de Clotilde Ch. 10
Datte: 31/10/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... pas, mais je l'entends.
- Nickel ce truc, avec ça on va pouvoir lui faire sa fête tout le temps que l'on veut !
Ma fête, tu parles, mon enfer.
Quand mon père au lieu de reprendre le chemin de mes intestins, choisit d'entrer dans ma vulve, je hurle comme une démente. Hurlement que même le pénis de Pierre, faisant office de bâillon de chair ne peut stopper. Le viol vaginal par un père est encore plus difficile pour une fille féconde que le viol anal. Moins douloureux, certes, mais plus dur psychologiquement. Avoir un enfant de son père, le pire du pire du pire. J'en arrive à espérer que Jérôme, Greg ou Meyer, voir Pierre m'ait déjà mise enceinte. Puis je me dis que de toute façon je ne le saurais jamais, jamais je ne pourrais dire, à moins d'un test ADN improbable qui sera le père de l'enfant que je vais mettre au monde. Car il n'y a aucune alternative, avec tous les viols que j'ai subis, avec toutes les éjaculations qui ont éclatées dans mon ventre, il n'y a qu'une issue, je suis fécondée... pour mon plus grand malheur.
Mon hurlement qui envahit la pièce produit un effet incroyable sur mon père. Il éjacule en moi, alors que seul son gland est dans ma vulve. Il ne faut pas être devin pour comprendre alors que ma souffrance n'existe pas vraiment, que cela ne fait que l'exciter. Que mon martyr est un plaisir pour lui. Que mon viol est donc un de ses vieux fantasme. Il a cinquante ans, j'en ai trente-deux, je vois enfin le vrai visage de mon géniteur. Celui d'un ...
... sadique-sexuel, celui d'un monstre. Tout ce que je savais sur lui est brutalement détruit d'une seule éjaculation dans mon ventre. Le ventre de sa propre fille, le ventre de son enfant. Le ventre du sang de son sang, de la chair de sa chair. Mais grâce aux pilules il bande encore, alors il reprend sa pénétration. S'enfonçant à fond dans mon corps. Sa bite est si longue qu'il franchit, tel un cycliste, sur le tour de France, mon col de l'utérus. Pour installer son pénis bien au chaud dans mon utérus.
Malheureusement pour moi, j'ai un petit vagin, un petit utérus, ce qui fait que mon père, avec son pénis digne du plus gros sexe d'acteur noir de l'univers du X arrive au bout. Quand il se met à aller-et-venir en moi, son gland frappe contre le fond de mon utérus, m'envoyant dans tout le corps des ondes électrique, comme si on enfonçait dans mes chairs intimes des milliers de grosses aiguilles chauffées à blanc. La douleur est infernale. Contrairement à ma mère qui d'abord était normale sur le plan de ses organes féminin, et avec qui mon père n'allait pas à fond, en moi, il enfonce la totalité de son sexe. Une torture monstrueuse. Surtout qu'il me viole longtemps, très longtemps. Quand mon frère se vide dans ma bouche en criant, mon père lance immédiatement sa purée. Je reçois une nouvelle fois la semence paternelle incestueuse dans mon corps. Mais cette fois après un viol complet. L'acte le plus monstrueux qui soit. Alors, pour la troisième fois en une heure, je m'évanouis. Mes ...