La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1586)
Datte: 30/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... vainement à trouver l’oxygène qui me manquait…
J’avais maintenant un sexe planté dans mon cul par une saillie nette, franche et puissante et un autre membre enfoncé dans ma gorge, me faisant limer de part et d’autre. Mon nez était chatouillé par des poils pubiens blonds. Se dégageait de cette toison une odeur de sexe, de transpiration et d’urine, peut-être même de sperme, les restes d’un plaisir solitaire, instant de bonheur volé dans la contrainte d’une journée harassante. En effet, les quelques marques que je voyais à la base de ce prépuce et sur le gland, de même que l’odeur caractéristique qui s’en dégageait me laissait le supposer. Je m’emplissais de ces odeurs, tel un élixir aphrodisiaque alors que je me faisais copieusement ramoner le cul et défoncer la bouche. Mes « visiteurs inquisiteurs » rythmaient leurs mouvements, l’un me tenant fermement la nuque, l’autre les hanches en poussant leur bite au plus profond de mes orifices. Tous deux râlaient et ahanaient à chacune de leurs avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge ne pouvait contenir et que je ne pouvais avaler.
Quant à mon ventre, il résonnait de cette présence dans mon cul. J’étais à la merci de ces hommes, livrés à l’expression de leur sexualité brute de décoffrage, maintenant déchainée, ils me tringlaient avec une énergie sans limite. Mon corps trempé de transpiration collait et adhérait au bas-ventre de mon enculeur, donnant un ...
... caractère de plus en plus animal à ce coït anal sans douceur. Je n’étais plus qu’un vulgaire pantin désarticulé que l’on manipulait sans aucune délicatesse… Pendant plusieurs minutes encore, je les laissais me troncher jusqu’à cet instant où l’un éjaculait dans ma bouche. En effet, il jouissait violemment et sans aucune retenue dans des râles gutturaux, bruyants dignes d’une bête en rut… Alors que l’autre se cabrait dans mon cul et dans des râles également incroyables, il explosait en moi en poussant sa grosse bite au plus loin de mon fondement. Ses vulgaires râles accompagnant ses ultimes et puissants coups de reins d’une force inouïe jusqu’à la garde… La douleur qui me transperçait ne m’empêchait pas de sentir ses couilles écrasées contre mes fesses, sa toison drue râper mes lobes. J’étais bien… moi aussi au bord de la jouissance physique, le cerveau en vrac, mes sens en ébullition…
J’allais devoir reprendre une queue lorsque Marcel depuis l’étage inférieur hélait ses gars. Ouf ou dommage… Je ne savais plus ! Mais pas le temps de réfléchir, Antoine et moi remontions nos joggings en vitesse, prenions nos plugs trainant au sol et quittions précipitamment les lieux avant que Charles et Pierrot ne reviennent. En cours de chemin, je disais à mon amant que j’étais vraiment désolé de ce qui nous était arrivé, désolé de n’avoir pas pu le prévenir de qui était ces gars si pervers.
- Pourquoi t’inquiètes-tu ainsi, Alex ? Ne sommes-nous pas seulement des êtres asservis… Ne n’avons-nous ...