La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1586)
Datte: 30/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... sursauter et mugir de plaisir, je me sentais salope... Le plug venait de s’enfoncer plus encore en moi.
- Tu as raison de te préparer le cul, sale pute que tu es, nous allons toi, et la suceuse vous besogner tous les soirs après notre boulot, puisque Monsieur le Marquis nous l’autorise et même nous le recommande vivement !, me chuchotait-il à l’oreille.
Le rustre personnage plaquait sa main gauche sur ma bouche, de son autre main, il se saisissait de la base du plug, le dégageait brutalement de mon cul pour le remettre immédiatement et férocement en place. Je ne pouvais retenir un geignement à la fois douloureux et jouissif, râle heureusement étouffé par cette main sur ma bouche. Ma gorge se nouait encore davantage et mon cœur se mettait à taper plus fort encore contre ma poitrine. J’entendais Charles et Marcel maintenant parler tout près de nous, juste derrière la cloison. Rapidement, ce pervers personnage reculait, me laissant juste le temps de remonter mon jogging. Antoine lui aussi était débout, les yeux humides, de la bave aux commissures de ses lèvres. Ni Charles, ni Pierrot n’avaient rien vu, rien entendu, tous deux affairés à montrer la fin du chantier à Marcel. Pourtant, Charles s’arrêtait devant moi :
- Ça ne va pas Monsieur Alexandre, vous semblez tout bizarre !
- Heu … je… tout va bien, Charles, aucun souci, c’est … c’est l’émotion de voir cette chambrée bien réaménagée, moi qui l’ai connu toute délabrée ! Alors bravo à vous deux, vous avez fait du ...
... très bon travail !
- Merci, Monsieur Alexandre !… Vous venez avec nous, Marcel va me donner des conseils quant aux évacuations d’eaux usées, nous devons refaire l’installation.
- Oui Charles, nous descendons.
- Non, il reste avec nous, nous n’avons encore rien visité !, reprenait l’homme qui m’avait maintenu contre le mur.
Un non sans appel, un non ferme et définitif, un non n’appelant aucun commentaire. Charles et ses deux compères nous laissaient entre les mains de ces pervers. Dès qu’ils furent hors de vue, Antoine et moi étions saisis par les cheveux et emmenés ainsi tenus, courbés, jusque dans la chambre. L’un et l’autre étions jetés sur un lit, à plat ventre, avec notre pantalon à nos mollets. Celui qui s’intéressait désormais à mon cul n’était manifestement pas en faveur des préliminaires, pas de longue et lente période d’approche, mais en un instant, une action débridée et guidée par le seul besoin libéré d’une sexualité instinctive et possessive. Une nouvelle fois, il m’arrachait ce plug, sans se préoccuper de mes geignements. La rudesse de ses mouvements et de son comportement, n’étaient pas l’expression d’un fantasme de domination. C’était la simple et bouleversante manifestation de sa propre nature aux instincts primitifs, une nature bestiale. Il m’enculait d’un trait, les poils de sa toison contre mes fesses, ses couilles au contact des miennes. L’autre assis près de mon visage, engouffrait sa bite dans ma bouche grande ouverte alors que je cherchais ...