La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1586)
Datte: 30/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1585) -
Chapitre 31 (bis) : Au service de Mâles actifs. -
Mon sang ne faisait qu’un tour… soudainement je me rappelais de ce qui s’était passé dans les vignes avec ces ouvriers agricoles travaillant pour le compte du Châtelain, ils m’avaient allègrement démonté le cul et la bouche chacun leur tour… Je me rappelais que Charles n’avait rien trouvé mieux que d’embaucher ces pervers, suite aux désistements de ces vendangeurs polonais. Impossible de prévenir Antoine pourtant près de moi ! Marcel entrait suivi de ces cinq sbires
- Alors les travaux, c’est fini ici ?, lançait Marcel.
- Oui presque… juste les toilettes à finir d’installer, viens voir Marcel, viens !, répondait Charles
Charles, Marcel et Pierrot partaient dans la pièce voisine, alors que les cinq ouvriers restaient près de nous. L’un deux, le plus grand, les yeux brillants, la trentaine, un corps de travailleur, musclé et vigoureux m’attrapait subitement, avec sa main puissante passée sous mon cou, me poussait pour me plaquer le dos contre le mur, un genou sur ma nouille et mes couilles. Son visage près du mien tenu bien plaqué contre le mur, il me chuchotait à l’oreille :
- Alors la pute, tu es déjà là, prêt à te faire tringler, petite salope !
Paralysé, angoissé par la présence de Charles dans la pièce voisine, je jetais un œil vers Antoine. Il était déjà à genoux, tenu fermement ...
... par les cheveux, avec une bite allant et venant, lui défonçant déjà la bouche, il bavait sur cette queue autoritaire et inquisitrice. Les trois autres ouvriers barraient le passage, se tenant vers la porte allant dans la chambre, pièce où étaient partis Charles, Marcel et Pierrot. Celui qui me maintenait, m’ordonnait d’ouvrir la bouche. J’obéissais, il se raclait la gorge et m’envoyait un crachat au fond de la mienne.
- Avale salope !
L’homme me regardait avec ses yeux noirs, tous ronds et terrifiants, son débardeur genre marcel blanc, mouillé par la transpiration lui collait à la peau, mettant en évidence ses tétons tendus ainsi que ces pectoraux. Des poils noirs sortaient de son encolure. Il était trapu et dégageait une force avec son visage recouvert d’une barbe naissante aussi noire que les poils de son torse. Il n’était pas beau, le visage taillé à coups de hache, son menton presque crochu, ses joues épaisses, son regard n’était que perversité, on aurait pu même dire d’animalité. Il relâchait son étreinte, pour s’emparer de ma chevelure. D’un brusque mouvement, il me faisait pivoter et me plaquait cette fois-ci, visage contre la cloison, mains posées aussi sur celle-ci près de mon visage. D’un geste rapide, il baissait mon pantalon de jogging à mi-cuisses et se plaquait tout contre moi. Cette communion corporelle me procurait une sensation violente qui me poussait au dernier stade du désir. Un contact furtif, rapide de son genou contre ma raie anale me faisait ...