Poils
Datte: 30/10/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
poilu(e)s,
fépilée,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
69,
pénétratio,
délire,
Humour
amouroman,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... grande ta collection ? se renseigne-t-elle.
— Je la commence avec toi. Bon, cessons de nous amuser, tu es prête ?
Elle hoche la tête.
— Je n’ai pas de tondeuse, sinon je te raserais comme une jolie brebis, je filerais et tisserais ton pelage et m’en ferait une houppelande.
— C’est pas fini tes conneries, si tu crois que c’est facile pour moi !
— Désolé, j’arrête, mais tu m’inspires.
— Pfff !
****
Je me dis que ça va être plus ardu que prévu, je ne peux attaquer cette masse pileuse au rasoir de cette façon, il me faut d’abord déblayer un peu le terrain. Je prends une paire de ciseaux et commence à désépaissir cette forêt amazonienne.
— Que fais-tu ?
— Je vous fais d’abord un dégradé, puis après je vous ferais des mèches, mââme Michu.
— Qu’il est con ! de t’avoir laissé seul ne t’a pas arrangé !
— Mais c’est pour ton bien, je retire le plus gros avec les ciseaux, sinon ça va durer des heures !
— Bon, fais comme tu veux.
— En même temps si j’avais une débroussailleuse ou un taille-haie sous la main, ça irait plus vite !
— Grrrr !
— Si tu grognes, je vais demander conseil à un toiletteur !
— N’importe quoi, se lamente-t-elle en souriant.
Une fois les plus longues mèches retirées, j’humidifie de nouveau avec l’éponge, j’étale la mousse à raser avec un blaireau et entame la longue séance rasage.
La peau apparaît sous la masse velue, preuve que mon travail paye. J’y vais par petites touches. Je commence autour du nombril, rince, réitère l’opération ...
... sur les côtés. En une demi-heure, j’atteins le mont de Vénus. J’en suis à mon troisième rasoir. Heureusement, j’ai prévu large. Maintenant, j’attaque la partie critique, son abricot.
Je le noie sous la mousse, et entame la délicate opération sans taillader ses jolies lèvres. Je pose un doigt timide au sommet de ce divin mont afin de tendre la peau. Ses grandes lèvres laissent affleurer ses timides nymphes. Je commence à être tendu, moi aussi. Pour rester calme, je pense à des personnages célèbres, Léonard de Vinci, Victor Hugo, Fidel Castro, Karl Marx, Sébastien Chabal…
— Tu te concentres comme quand tu étais petit, murmure-t-elle en m’observant.
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Tu passes un bout de langue entre tes dents, comme lorsque la vieille peau nous faisait faire une dictée.
Nous rions, et ce bref instant nous détend un peu.
Après avoir bien dégagé l’aine et le haut des cuisses, les grandes lèvres et le pénil, je souffle un grand coup ce qui la fait rire. L’air froid sur ses parties intimes luifait tout drôle, dit-elle. De voir apparaître sa mignonne conque me flanque des frissons, elle commence à avoir figure humaine, si j’ose m’exprimer ainsi !
Il existe différentes foufounes : les exubérantes, celles où les petites lèvres surgissent, agressives, et les timides, celles où les grandes lèvres restent closes, cachant leurs secrets et leurs trésors derrière un énigmatique sourire à la Moniche Lisa. Gwen serait plutôt de la seconde catégorie, de celle qui cache ...