1. Le vieil homme et la mer


    Datte: 29/10/2024, Catégories: f, hplusag, hagé, fépilée, plage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, nopéné, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... jambe me dévoilera votre trésor le plus caché…
    
    Oh putain, non… Tais-toi, vieillard ! Tais-toi ! Tais-toi s’il te plaît, Gwenaël…
    
    — Cet endroit si intime que je n’ai pas encore pu admirer…
    
    Tais-toi, vieux marin… Oh putain… Je vais jouir, en le regardant me regarder. Voyeuse et exhibée. Un joli paradoxe érotique.
    
    — Oh Juliette ! Qu’il est beau ! Un si gracieux œillet…
    
    Mon pied maintenu au ciel, je me sens totalement offerte. Une nouvelle fois, mes tripes me brûlent. Ma grotte ouverte et trempée n’a plus aucun secret à livrer. Tout comme celle de Lascaux, elle a été amplement explorée. Et là… Maintenant… Alors qu’il tient ma cheville entre ses doigts, et qu’il braque son regard gris sur moi… Sur mon petit orifice qu’il s’est offert lui-même… Je craque. Je capitule. Je rends grâce et les armes.
    
    — Je vais…
    — Oui, Juliette. Jouissez, sublime salope ! Et je me repaîtrai de votre délicate rondelle palpitante sous l’orage déclenché par vos sens déchaînés…
    — Je… Oooh… Oooh…
    
    Je jouis en bordées longues et diffuses. Je ne suis plus que marée. Je prends mon pied en morse. Jet diffusé court. Giclée dure et longue… SOS de sirène en perdition. Je mouille en lançant des fusées de détresse. Pour prévenir que j’ai perdu pied. Pour que l’on vienne me soustraire à cette attente si longue, et si proche pourtant de me porter vers l’extase. Allo Papa Tango Charlie… Je n’ai pas même un triangle de poils pour me repérer dans cette perdition. Pas de bermuda… Je jouis en ...
    ... aspergeant le drap de bain. J’éclabousse le sable. Je suis une Attila, fléau des autres. Où cette furie jouit, l’herbe ne repoussera plus après ses ondées sauvages! Et là, sur une dune déserte, je crée des roses de sable, en Bédouine sauvage.
    
    — Je… Je viens… Ooh… Je… Jouis… Aaah !
    
    Je balbutie. Je dis des mots sans suite. Je feule. Je gémis et lâche un cri rauque. C’est à mon tour de m’exprimer pleinement…
    
    — Non. Je suis désolée, Gwenaël… Demain, cela me sera impossible. Il faudra attendre deux jours. Évidemment que je tiendrai ma promesse. Et puis, dans trois semaines, je ne serai pas seule. Ma compagne, oui. Oh non ! Si Chloé est aussi jolie que moi ? Bien sûr que non ! Je suis un thon rouge sans charme. Chloé, elle, est le magnifique espadon du livre. Oui. Oui, elle est tout aussi douée que moi pour les plaisirs de l’exhibition. Eh bien… Au revoir Gwenaël ! Dans deux jours ! Ici même ! Je promets… Vous avez été… Un maître ! Oui, Gwenaël… Je suis sincère…
    
    Une demi-douzaine de bêtes de sexe bodybuildées et dotées de queues surdimensionnées m’auraient certainement fait jouir, mais aucun de ces hardeurs n’aurait pu me mettre dans un tel état. Aucune rivalité n’est même possible entre ces monstres du porno et ce vieil homme, incapable de produire la moindre érection. Mon vieux marin ridiculiserait ces machines à baiser en me faisant me pâmer sans même avoir besoin de me toucher.
    
    C’est tout de même curieux…
    
    C’est curieux chez les marins, ce besoin de faire des phrases… 
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