1. Le vieil homme et la mer


    Datte: 29/10/2024, Catégories: f, hplusag, hagé, fépilée, plage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, nopéné, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... parce qu’il n’a pas cessé de me regarder en parlant. Si je n’étais pas déjà nue, ces regards me ficheraient à poil. Et puis, il est loin d’être idiot le vieillard. Il a vite compris que sa vie libertine ne m’avait pas laissée indifférente. Pourquoi l’aurait-il remarqué ? Me direz-vous avec l’air innocent que je vois déjà poindre ? Eh bien, tout simplement parce que je suis humide, un peu plus qu’humide, même et que donc, ce bon Gwenaël est fin observateur.
    
    — Vous savez bien que non… Vous savez raconter les histoires.
    — Merci. En voudriez-vous d’autres ?
    — Pourquoi pas ? Tout en partageant un casse-croûte, alors…
    — Quel genre d’histoire ? J’ai vécu beaucoup de choses. De l’érotisme peut-être ? Il me semble que le côté libertin de ma jeunesse ne vous déplaît pas.
    — C’est vrai. J’ai apprécié le côté libertin de votre vie. Eh bien, Libertinons donc… !
    
    Une forêt bien connue des voyeurs aux environs de Paris. Gwenaël et Gudrun en voiture. Le couple et les admirateurs de la belle Norvégienne. Gudrun s’exhibait. Elle acceptait des mains sur son corps, partout sauf sur ses seins et son intimité. Et savez-vous, Juliette, que ces gens, ces voyeurs, sont scrupuleusement respectueux ? C’est étrange, non ? Jamais personne n’a enfreint ces règles. Lui, Gwenaël, ne faisait que regarder sa chère Gudrun, et la Norvégienne jouissait et jouissait encore sous les délicieuses caresses sur ses épaules, ses bras, ses cuisses…
    
    Et moi, je jouis aussi… D’un coup ! Attentive et comme ...
    ... hypnotisée par la voix grave, je n’ai rien vu venir. L’orgasme n’est pas monté en douceur. C’est un couperet qui m’est tombé dessus, me décapitant de la réalité pour m’emporter dans la jouissance. Des images de la brune de Norvège à l’esprit. Mon sandwich entamé en main, jambes légèrement ouvertes durant l’histoire, afin d’offrir au conteur de quoi se motiver pour sa narration. Je me laissais vivre. Mon pubis lisse et ma fente trempée pouvaient très certainement inspirer le vieux marin. Et là… L’orgasme taquin me referme les cuisses, comme des volets sous un coup de vent.
    
    — Oh ! C’est merveilleux Juliette ! Gudrun était comme vous… Elle jouissait sans même avoir besoin d’un contact physique… Vous êtes formidable ! Vous me comblez !
    
    La jouissance s’éternise et me tord le corps dans une position certainement ridicule. À demi allongée, en appui sur mon coude enfoncé dans le sable, j’aspire des goulées d’air comme la nageuse, essoufflée par l’effort, que j’étais il y a peu.
    
    — Mon histoire vous a plu… Et le fait que je vous regarde… Vous aimez tout autant bien sûr. Vous exhiber à moi vous transporte, n’est-ce pas Juliette ? Savez-vous que vous êtes belle dans la jouissance ? Vous, Juliette, bien sûr, mais toutes les femmes ne le sont-elles pas ?
    
    La tempête est passée, mais je suis dans l’œil du cyclone. Je le sais. Je n’ose pas regarder mon vieillard si délicatement vicieux. Oh, je le ferai très vite, mais là, si je croise son regard, je me prends un autre ticket pour la ...