1. Innocence Perdue


    Datte: 29/10/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, vacances, plage, pied, caresses, Oral pénétratio, init, initiatiq, diffage, Auteur: Laura06, Source: Revebebe

    ... lèvres se frôlèrent, se touchèrent presque, puis finirent par s’unir.
    
    Délicatement, il entreprit le haut de mon maillot. Avec une dextérité affolante, les deux petits liens noués derrière mon cou ne furent qu’une simple banalité pour lui. Le haut de mon bikini baissé sur mon ventre doré par le soleil, il contempla ma frêle poitrine.
    
    — Tes seins sont magnifiques !
    
    Il se pencha sur ma poitrine. Il se mit à sucer tour à tour mes tétons durcis par le plaisir. Sa main se posa sur mon sein libre, pour en dessiner le galbe, pour toucher la tendresse et le moelleux de ma peau, pour en définir la fermeté. Tremblante sous la tension charnelle de son étreinte, en proie à une sorte de transe sexuelle, à la limite de l’évanouissement, face au plaisir indescriptible que je prenais, je n’avais plus qu’une seule envie…
    
    — Monsieur Garnier… Hum…
    — Tu aimes ce que je te fais ?
    — Oui ! Continuez, s’il vous plaît… N’arrêtez pas… Je voudrais…
    — Que veux-tu Laura ?
    — Touchez-moi… sous mon bikini… s’il vous plaît…
    
    Il était en train de me faire vivre la plus douce des tortures… il malaxait copieusement ma sensible poitrine gonflée par l’excitation. Mais j’en voulais plus, je désirais sa main chaude et puissante sur ma vulve en fusion, je le voulais également en moi !
    
    Il comprit et exauça mon vœu. Il commença par décrire des petits cercles torrides sur la culotte de mon bikini. Lentement, ses mains glissèrent sur mes hanches, ses doigts se faufilèrent sur les fines cordelettes ...
    ... tressées de la culotte de mon bikini bleu échancré et tirèrent dessus. Les deux fragiles nœuds capitulèrent. Délicatement, il abaissa la fine barrière d’étoffe et libéra ma juvénile vulve imberbe.
    
    Il se mit à me caresser, faisant glisser ses doigts entre mes délicates et fines lèvres afin de sentir la chair tendre de mon intimité offerte à son vice. Sa caresse sur mes lèvres et mon clitoris en feu m’envoya au septième ciel, je me mordis la main pour ne pas crier mon plaisir et mon excitation.
    
    Monsieur Garnier se pencha entre mes cuisses. Il se mit à me lécher comme il aurait léché une crème glacée, goûtant au moindre recoin de mon intimité, à mes fines lèvres souples, à mon clitoris. Sa bouche couvrait entièrement mon sexe. Sa langue vint s’abattre, avec une fougue somptueuse, sur mon clitoris, soulevant mes fines lèvres, pressant au millimètre l’endroit parfait. Je me tordais de plaisir, il m’envoyait des décharges électriques sur la moindre parcelle de mon anatomie.
    
    Au bord de l’extase, mon beau brun retira son short, révélant son énorme pénis en érection. À ce moment je n’avais plus qu’une envie, qu’un désir : sentir cette imposante queue s’enfoncer en moi…
    
    Soudain, je le sentis s’agenouiller, son sexe contre mon intimité, prêt à m’investir. Moment de panique ? Moment de stress ? Moment de peur ? J’ai resserré mes cuisses.
    
    — Monsieur Garnier… je suis… je n’ai jamais…
    — Nous pouvons arrêter là si tu désires.
    
    En guise de réponse, j’ai replacé son sexe contre ...