1. Innocence Perdue


    Datte: 29/10/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, vacances, plage, pied, caresses, Oral pénétratio, init, initiatiq, diffage, Auteur: Laura06, Source: Revebebe

    ... l’étais.
    
    — Que se passe-t-il, Laura ?
    — Je crois que… je me suis fait piquer par une vive, monsieur Garnier… ça fait très mal.
    — Laisse-moi voir. Oui, c’est une vive… Elle ne t’a pas manqué. Il faut te reposer et appliquer du froid pour contrer l’action du venin. Je te ramène au bungalow.
    — D’accord monsieur Garnier.
    
    Le beau brun passa son bras autour de mes épaules, puis nous avançâmes entre les serviettes vers le bungalow qu’il avait loué. Le soleil qui brûlait ma peau, le bruit des vagues qui s’écrasaient contre les rochers, le bruit des enfants qui jouaient et la douleur lancinante du venin, je perdais mes sens.
    
    — Ça va, Laura ?
    — Je crois oui… Ça fait un mal de chien.
    — Je veux bien te croire.
    
    Dès que nous eûmes franchi la porte de la maisonnette, Marc me déposa sur son lit et s’éclipsa pour aller chercher le nécessaire pour soulager mon pied.
    
    Grelottante à l’idée de passer un instant seule avec lui, je détaillais sa chambre. Elle était plongée dans une pénombre sensuelle, seuls les rayons du soleil éclairaient la pièce. Décorée avec goût, les meubles mexicains aux couleurs pastel donnaient un petit côté exotique qui me plaisait bien. Sur l’instant, j’ai émis un doux rêve… Je me voyais vivre avec lui, dans ce petit village mexicain, sur la côte de la Baja California…
    
    Mon rêve prit fin quand Marc posa la compresse froide sur mon pied endolori. Assis à côté de moi, il massa délicatement, précautionneusement, mon pied. Pendant son massage, je le ...
    ... surpris, à plusieurs reprises, en train de regarder ma poitrine cachée par mon petit bikini bleu. Sa voix, son torse bronzé et puissant tout près de moi, sa douce odeur d’océan et de sable chamboulaient mes sens. Pour cacher le trouble qui se manifestait dans mon bas ventre, je lui souriais bêtement.
    
    Nos regards se croisèrent une nouvelle fois. Nous communiquions sans avoir besoin de nous parler. Nos yeux, vitrines de nos âmes, exprimaient ce désir terrible, cette envie folle. Même si je savais au fond de moi que cela était mal, je le voulais, le désirais. Je voulais que cet homme me fasse devenir femme. Mais comment pouvais-je lui faire comprendre ? Comment devais-je me comporter ?
    
    Au fil des secondes, des minutes, je me sentais de plus en plus bouleversée, troublée par sa présence. Dans mon ventre virevoltaient des milliers de papillons. Mes sens étaient en éveils. Je palpitais, je me languissais d’un geste, d’une action de sa part. Totalement séduite, perturbée par cet Appolon, je fus trahie par mon émoi en lâchant un gémissement.
    
    — Tout va bien Laura ?
    — Monsieur Garnier…
    — Oui Laura
    — C’est… très agréable… je ressens des choses… des…
    — Pardon Laura, je ne voulais pas…
    — Non, monsieur Garnier, continuez. Ce que je ressens est…
    — Que ressens-tu, Laura ?
    — Des picotements… Des vibrations… Ici, dans mon bas-ventre.
    
    Nos regards se fixèrent une nouvelle fois, mon regard fut appuyé, comme pour lui envoyer un signe, une invitation. Lentement, Marc se pencha, nos ...
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