Cigarette et vodka - Histoires de Sexe

Cigarette et vodka

... exploser si tu continues.
— Si je continue ?
— À me parler comme tu fais.
— Et mon visage, Alexis ?
— Tu m’excites. Tu vas jouir, toi aussi. Je le vois. Tes yeux. Tu as du mal à respirer.

Mes doigts s’enfoncent et ressortent. Poisseux. Je sens monter la vague. Mes yeux sur l’écran. Regard tour à tour sur Alexis et moi.

— Tu m’attendras pour jouir, Alexis ?
— Oui, Jul.

J’ai relevé le top et le tiens entre mes doigts, tout en continuant d’agacer mon téton. Il sait que maintenant mes seins sont à l’air.

— Tu veux voir mes seins, Alexis ?
— Surtout pas, mais… Attends ! Tu resteras encore un peu après ?
— Après quoi ?
— Quand on aura terminé, là…
— J’ai toute la nuit.

Sa queue est prête à exploser et moi prête à venir. Je sais déjà que mon orgasme sera violent.

— Ce que j’aimerais, c’est jouir pour toi, Jul. En te regardant prendre ton pied, toi aussi. Et plus tard, oui, regarder tout ce que tu voudras me montrer.

Oh ces mots ! Ce qu’il dit. Jouir pour moi. Sans vouloir que je m’exhibe. C’en est presque frustrant. Je voulais me montrer. Tout lui montrer de moi. Lui veut voir mon visage. Uniquement mon visage. Pas ma chatte ou mon cul. Ohlala. Qu’est-ce qu’il m’excite en disant ça !

— Alors, jouis vite, Alexis. Vite !

Je me suis penchée en avant et j’ai immobilisé mes doigts.

— Vite, Alexis !

Il va venir. Oh oui. Sa jolie queue turgescente va bientôt tout me donner.

— Je vais gicler, Juliette !

Mes doigts plongent dans ma fente quand ...

... il explose en longs jets saccadés qui arrosent son ventre.

— Moi aussi. Moi aussi…

Je coule doucement et je viens d’un coup.

— Oh…

Je jouis sur mes doigts ancrés dans mon sexe brûlant, bouche grande ouverte, sans même quitter des yeux Alexis qui en termine de son plaisir.

— Oooh…

Alanguie et lascive. Alanguie, mais langoureusement. Détendue, mais loin d’être abattue. Je n’ai pas bougé d’un pouce.

De temps en temps, j’ouvre les yeux. Nous n’avons pas dit un mot depuis nos jouissances. Alexis continue à cajoler son sexe d’une main. Il est beaucoup moins dur, mais reste tout de même un peu tendu. Moi, je n’ai pas abandonné mes attouchements. Je laisse mes doigts glisser sur ma fente. Mon bas-ventre est humide de sueur et mon pubis lisse et doux, glissant d’humidité. Ma chatte est trempée, fente ouverte et toute gluante. C’est délicieux de se toucher ainsi. Toute nervosité, toute gêne, toute honte ont disparu. Je me sens bien. Très à l’aise. Très calme. Comme repue et inassouvie en même temps. J’ai tout le temps. J’en veux encore. Je veux encore de ce plaisir jusqu’ici inconnu de moi. Oh oui, j’en veux. Et j’irai plus loin si mon beau partenaire continue d’être aussi excitant.

— Tu te caresses toujours ?

Je regarde l’écran. D’abord Alexis. Il a de sa liqueur étalée sur le ventre. Il a joui très fort et maculé le galbe de son sein gauche. Coup d’œil sur mon visage. Serein et mon sourire.

— Oui. C’est trop bon…

Lui aussi me sourit.

— Tu vas jouir ...