Cigarette et vodka - Histoires de Sexe

Cigarette et vodka

... encore ?
— Oui. Je suis toujours très excitée. Je prends mon temps… Sinon, ce serait déjà fait.
— Oh. C’est cool ça. Tu veux m’exciter ou quoi ?
— Oui, je veux. Et tu veux savoir ce qui m’excite, moi ?
— Tu m’étonnes. Oui, dis-moi tout. Ça m’intéresse.

Il rit en se passant une main sur le ventre. Il ne s’est pas essuyé et ça m’excite brusquement en y songeant.

— J’ai joui parce que tu me regardais, moi. Pas mon cul. Ça m’a vraiment chamboulée. J’ai adoré ça.
— Oh Juliette. Tu me tues, là.
— J’avais envie de me montrer. J’ai toujours envie. Mais comme ça, c’est… Ça me met dans tous mes états, tu sais.
— Ne me montre rien, alors. Je m’en fou. Tu me rends déjà dingue, là.
— Je vais jouir comme ça, oui.
— Oui Jul.
— Et ensuite, je me montrerai.
— Tu en as envie ?

Si je lui dis ce que je pense, ça risque de me faire partir très vite. Ohlala. Je suis dans un drôle d’état, moi. Que c’est bon !

— Si je te dis ce que j’ai envie de faire… Ça va beaucoup m’exciter. Je vais jouir, c’est sûr. Je vais jouir très fort.

Il est à nouveau dur. Raide et gonflé. Alexis bande encore pour moi.

— Tu peux jouir combien de fois ?
— Je ne compte pas, mais plusieurs fois, quand j’ai très envie.
— Et tu as envie, là ?
— Oh que oui ! Je jouirai encore ne t’inquiète pas.
— Oh Jul ! Alors, dis-moi ce que tu as envie de faire.

Le zoom est toujours sur mon visage en sueur. Je suis certaine que n’importe qui comprendrait que je suis excitée.

— Je vais te dire, ...

... oui…

Je me regarde. Je regarde mon top blanc recouvrir mon visage l’espace d’un instant. Le temps de l’enlever.

— Branle-toi, Alexis… Doucement…

Mes mots m’excitent.

— Mes seins sont tendus. Gonflés. Ils bandent. Mes tétons me lancent. Ils sont durs. Ils pointent dur. Tu veux que je les touche ?
— Oui. Tu me rends dingue, là !
— Branle-toi. J’aime te regarder. Doucement. Regarde-moi. M’mm, c’est bon, mes seins. Je les pince un peu… Pas longtemps ou je vais partir.

Je n’ose pas plus. C’est déjà bien. Je n’ose pas lui dire que j’ai envie de mes pinces à seins. De les poser un peu durement sur mes bouts. Que j’aime avoir un peu mal. Ce serait trop. J’aurai honte. Comme de lui dire que je mourrai d’envie de lui montrer mes nichons pincés.

— Je t’excite Alexis. Tu bandes fort pour moi, là.
— Oui Jul, oh oui, tu m’excites.

Je ne quitte pas des yeux l’écran d’Alexis. Je bouge. Je me contorsionne. Genoux relevés devant mon visage. Le 501.

— Je coule, Alexis. Je n’ai pas encore vu, mais j’avais la main trempée tout à l’heure. Et mon 501 est mouillé.

Il ne voit que mes genoux et un peu de cuisses dans la toile bleue.

J’ai du mal à garder mon calme. J’étouffe presque en retirant les jeans.

— Tu aimes mes genoux ?

Je suis restée sans changer de position. Mes genoux nus à l’écran.

— Oui Jul.

J’écarte mes jambes. Mon visage en gros plan.

— Oh putain, Jul ! Tu vas me rendre fou.
— Moi, je vais jouir. Je dégouline là.
— Oui, Juliette. Jouis, ma ...